Déchets plastiques : une pollution si importante que des îles de plastique se sont formées dans les océans par Charles Moore
Synopsis :
Le Capitaine Charles Moore de la Fondation de Recherche Marine Algalita a d’abord découvert la Plaque de Déchets du Pacifique Nord : des déchets plastiques qui flottaient à perte de vue.
À présent il attire notre attention sur le problème croissant et étouffant des déchets plastiques dans nos mers.
Source : TED.
Une vidéo effarante qui montre l’ampleur du problème des déchets et du manque de considération des hommes pour leur environnement.
Tags : Pollution
5 réactions à cet article
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Qui est assez imbécile pour voter contre cet article ?
Un ultralibéral qui refuse de voir la réalité en face ? Cela dit, cet état de fait (cet océan de déchets - et ce n’est que le début !) n’est pas lié au capitalisme, libéralisme, ou je ne sais quoi, mais au fait que l’homme maîtrise les sciences et techniques UN PEU, mais pas assez pour savoir comment récupérer toute cette merde qu’on envoie dans les océans. Le seul moyen d’en venir à bout, c’est de disposer de micro-machines qui sillonnent les océans pour récupérer tout le plastique. On voit tout de suite le problème : la source d’énergie. Conclusion :
1/ soit il y a une source d’énergie qu’on n’a complètement loupée.
2/ soit toutes les planètes où se développe la vie sont destinées à devenir des poubelles (que les écolos bobos ne me disent pas : "c’est un problème de comportement" : même avec un bien meilleur comportement, comme tout va à la mer, les mers finiraient par devenir polluées, simplement au bout d’un temps plus long).Il y a plein de raisons pour privilégier l’hypothèse numéro 1. Si seulement les scientifiques avaient plus d’imagination !
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"1/ soit il y a une source d’énergie qu’on n’a complètement loupée"
oui, bien sur on peut s’en remettre à des lendemains qui chantent et miser sur une révolution technologique,
mais en attendant nous perturbons tellement notre écosystème que notre survie sera bientôt menacée
l’urgence est de réduire nos émissions de CO2 et nous n’en prenons pas le chemin
par exemple, en France, le développement de l’éolien nous oblige à installer des centrales à gaz pour équilibrer les chutes de productions dues à son intermittence ! Notre bilan carbone va en prendre un coup !
les pistes de décroissance et d’économie d’énergie seront fatalement d’actualité dans un avenir proche, le plus tôt sera le mieux . . .
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Toute limitation se fait dans la douleur. Regardez autour de vous les comportements. Chacun veut une grande maison, un grand jardin, et surtout, partir en vacances, voyager, voyager, et encore voyager.
Comme tous les animaux, l’homme veut savoir ce qu’il y a de l’autre côté de la colline.Le problème est :
1/ Si il n’y a pas de révolution scientifique à venir dans le domaine de l’énergie (je ne parle pas de révolution technologique, contrairement à ce que vous dites ; je parle de révolution scientifique, rien à voir), la Terre sera toujours plus une poubelle. L’avenir ne sera pas brillant, dans ce cas. Qu’on ne me parle pas de contenant biodégradable (e.g. bouteille d’eau biodégradable) : immanquablement la bouteille se dégradera au contact du contenu - donc je ne vous dis pas le goût de l’eau au bout d’un mois.
2/ Soit il y a quelque chose qu’on n’a pas vu en termes scientifiques, et alors, tout est permis :
a/ les micro-machines nettoyeuses qui sillonnent les océans à la recherche de plastique.
b/ la supression de la bouteille d’eau via un contenant "électronique" utilisant des forces à distance (et pas des forces de contact comme aujourd’hui).
c/ etc. Laissez libre cours à votre imagination.L’avenir dira.
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en terme scientifique je vous accorde que l’avenir est "ouvert", et heureusement ! la théorie du "tout" n’est pas pour demain . . .
la question est qu’il est impossible de savoir "quand" une prochaine ouverture aura lieu, demain ou dans un siècle.
le corolaire est que pour l’instant l’urgence est de réduire les émissions de CO2 si nous voulons pouvoir atteindre la prochaine ouverture "scientifique"
en d’autre termes, l’avenir ne dira rien si nous ne sommes plus là pour l’entendre . . .
le corolaire du corolaire et qu’en ce faisant nous découvrirons sans doute qu’il est sans doute possible de gérer un stock, la Terre, sans l’épuiser . . . -
Cette image angoissante de l’enfant qui soulève la mer en plastoche veut tout dire !
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