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Hector Mendez sur le pouvoir populaire en Amérique latine

Hector Mendez, ancien militant révolutionnaire uruguayen, titulaire d'un doctorat en philosophie, était à l'Université réelle de Montpellier pour une conférence portant sur le sujet de sa thèse en instance de publication, le pouvoir populaire en Amérique latine.

 



Retrouvez toutes nos conférences sur notre page Facebook.

 

Tags : Amérique du Sud Politique Démocratie Géopolitique SYRIZA




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6 réactions à cet article    


  • 1 vote
    Lisa Sion Lisa Sion 18 mars 2015 14:44

    Ce qui témoigne de la vraie résistance en Amérique du sud, ce sont les nombreux leaders charismatiques ( Che Guevarra, Fidel Castro, Chavez... ) que l’on appelle chez nous " homme providentiel " Alors, Manuel Valls, Bernard Henri Levi, Michel Drucker... ??? Tant que la France soutiendra et hébergera les anciens dictateurs africains et autres haïtiens, elle ruinera les chances de voir émerger l’homme providentiel. Dieudonné président  !


    • 1 vote
      maQiavel maQiavel 18 mars 2015 15:17

      Merci pour le partage.
      Cette vidéo fera au moins taire les prosélyte du défaitisme qui considèrent que le peuple n’a jamais avoir de l’influence sur la prise de décision politique.Mais celà ne comblera évidemment pas leur lacunes historiques car il existe d’innombrables exemples historiques.


      • vote
        maQiavel maQiavel 19 mars 2015 09:16

        Ce qui est étonnant chez les prosélytes du défaitisme , c’est qu’ils sont tellement dans la négativité qu’ils ne perçoivent même plus le réel , ils sont enfermés dans leurs préjugés qu’ils ne savent même pas remettre en question. 

        Ce qui est amusant , c’est que très souvent , ce sont des idéalistes déçu de la dureté et la froideur de la réalité politique (qui se fonde sur les rapports de force et les intérêts comme on devrait tous le savoir ) , finalement , ils sont tellement écœuré qu’ils passent d’un excès à l’autre : de l’utopisme niais adolescent ils en arrivent au défaitisme et deviennent des prédicateurs de la résignation et de la servitude.C’est un classique , ce sont en général des gens qui pensaient qu’un monde nouveau émergerait en un claquement de doigt et lorsqu’ils se rendent compte que cette perception est absurde , que la politique est la même depuis des millénaires et qu’elle ne changera pas , ils en arrivent à ne plus croire en rien , en tous cas pas au combat politique.

        Pour le reste , pour quiconque a un peu de culture politico historique , les questions des pouvoirs et contre pouvoirs populaires sont aussi vielles que la politique , cela remonte à la révolution néolithique et elles se poseront encore tant que la politique existera.Ceux qui affirment que le peuple n’a jamais eu aucun pouvoir à aucun moment n’y connaissent rien.


      • 1 vote
        Frida Frida 18 mars 2015 22:27

        C’est beau l’abstraction, on vole dans les stratosphères du coupage des cheveux en quatre...
        ainsi on peut théoriser sur le peuple en donnant comme exemple, les soviets, les indignés espagnols, occupy wall street, et les révolutions arabes dites "printemps arabe"....
        mais que voulez vous, je manque de culture, de graves lacunes, et en plus crétine...
        l’académisme sert à cela, s’écouter parler, et produire des théories et des hypothèses, que d’autres prendront pour argent comptant...c’est comme cela que naissent les dogmes et les dogmatiques...
        dans les médias mainstream, on entend souvent parler du peuple... le peuple a fait cela, il a fait ceci....
        ah la pensée magique ....
        sinon il y aussi ceci
        http://fr.wikipedia.org/wiki/F%C3%AAte_des_voisins



          • vote
            maQiavel maQiavel 19 mars 2015 10:10

            Cette constitution est loin d’être parfaite ,d’ailleurs malgré son existence , le Venezuela connait actuellement une situation très difficile ( en politique la perfection n’existe pas , le bon est une denrée trop rare , en général on se contente du moins mauvais ) mais elle peut nous inspirer pour créer de nouvelles institutions.

            On peut prendre celà dans tous les sens mais tous les problèmes que nous connaissons dérivent directement ou indirectement de nos mauvaises institutions , ce ne sont que des conséquences ,la cause résidant dans la constitution.



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