« La France a été l’un des premiers pays à participer au processus de réforme et d’ouverture de la Chine »
Commençons par dire que La position qu’occupe la Chine à l’heure actuelle en matière de technoscience est le fruit d’une volonté politique internationale. Des partenariats d’ampleur unissent l’Europe et la Chine. Ils sont si conséquents que le narratif d’une Chine, ennemie ou concurrente mortelle de l’Occident, est une fake news.
De plus, profitons-en pour citer un extrait de l’article de Ariel Noyola Rodríguez, paru sur Russia Today le 30/10/2015, et intitulé : « La Chine adoubée par la City de Londres… ce qui confirme bien que Wall Street n’est en fait qu’une succursale de la City et l’a toujours été »
Dans cet article, nous apprenons que « Pékin, après des années de tractations en coulisse est entré dans les petits papiers de la City de Londres. La visite que le président Xi Jinping a effectuée à Londres, entre le 19 et le 23 octobre 2015, a posé les bases de la fondation d’une époque dorée entre la Chine et le Royaume-Uni, bases sur lesquels les deux pays s’appuieront pour donner une impulsion au yuan comme monnaie de l’économie mondiale. La Chine a commencé à relever le niveau de son partenariat stratégique avec le Royaume-Uni, qui malgré le déclin de son économie, est toujours chef de file dans la gestion de la finance internationale. Ce n’est pas rien que la City de Londres ait le plus grand marché des changes dans le monde, et réunisse le plus grand nombre d’opérations de gré à gré. Mi-2013, le Royaume-Uni est devenu le premier pays à promouvoir l’utilisation du yuan en Europe. La ville de Londres a enregistré plus de la moitié des transactions libellées en yuans dans l’ensemble du continent européen. (…) le monde d’aujourd’hui est confronté à une nouvelle configuration géopolitique et économique, dans laquelle la Chine joue un rôle de premier plan. Le commerce ne se concentre plus seulement entre les États-Unis et l’Union européenne. Voilà pourquoi, pour la City de Londres, le commerce et les opportunités d’investissement avec Pékin passent avant le mandat d’alignement sur l’agenda de Washington. Une preuve en est que, en mars dernier (2015), le Royaume-Uni a rejoint les fondateurs de la Banque asiatique d’investissements pour les infrastructures, menée par la Chine. Cette institution a mis fin à la domination de la Banque mondiale et de la Banque asiatique de développement en Asie (qui sont sous influence américaine). (…) grâce à la City de Londres, Pékin est sur le point de réaliser la mondialisation du yuan sur une échelle sans précédent … ».
Profitons-en encore pour rappeler l’actuel gigantesque projet chinois de 1000 milliards de Dollars, la BRI (« Belt & Road Initiative » ou « Initiative de la Ceinture et de la Route de la Chine »), qui concerne la nouvelle « route de la soie » économique, maritime et numérique du XXIème siècle, et qui n’attends plus que des investisseurs, « apatride et supranationaux », pour le concrétiser.
Maintenant, à propos de certaines relations France-Chine, parlons de celles qui ont débouché sur la construction du labo P4 de Wuhan, avec transfert de compétences à travers l’Institut Pasteur, et qui faisaient suite à un partenariat UE-Chine qui remonte à 1998. C’est au cours de cette même année 1998 que fut fondée une institution qui a joué un rôle-clé dans la crise du « Covid-19 ». Cette institution est le « Center for health security » et est située à l’Université Johns Hopkins, dans l’État du Maryland. C’est dans cette institution que, dès le début de la pandémie, ont été collectées, compilées et diffusées toutes les informations « Covid » de la planète. À toutes fins utiles, précisons que c’est dans cette même Université « Johns Hopkins » qu’une simulation de pandémie avait été organisée en octobre 2019, c’est-à-dire 1 mois avant « l’apparition » du Covid-19 à Wuhan, et 3 mois avant l’officialisation d’une pandémie mondiale par l’Organisation mondiale de la Santé - OMS. Précisons encore que cette simulation était financée par Microsoft, l’entreprise de Bill Gates, qui contrôle l’OMS ainsi que l’association GAVI - l’alliance du vaccin. Enfin, est-ce une coïncidence si, en juillet 2014, parmi les 298 passagers qui trouvèrent la mort dans le crash du Boeing 777 de la Malaysia Airlines en Ukraine - abattu par un missile de longue portée lancé par des « séparatistes » selon les médias de masse - se trouvaient 108 virologues qui se rendaient au Japon pour participer au Forum de la Santé organisé par Bill Gates ?
NB : C’est un ancien employé de « Goldman Sachs », Jim O’Neill, qui a inventé le terme acronyme BRIC en 2001. Quelques temps après son départ de Goldman Sachs (en 2013), Jim O’Neill occupera (en 2015) un poste au sein du gouvernement de Sa Majesté en tant que secrétaire commercial au Trésor. Son rôle principal était de travailler sur le projet « Northern Powerhouse » et d’aider à redynamiser le commerce avec la Chine, car, assurément, il était clair pour lui (mais pas que) que la prospérité économique devait être cherchée dans la région asiatique. De 2014 à 2016, O’Neill sera également à la tête d’une commission internationale chargée d’enquêter sur la résistance mondiale aux antimicrobiens ; en 2018, « Lord » O’Neill publiera même un livre dont le titre est « Superbugs : An Arms Race Against Bacteria », dans lequel il promeut l’utilisation de vaccins pour lutter contre les « superbactéries ». Pour finir, notons qu’il a été président du Conseil de « Chatham House » (certains disent plutôt « Shatan house ») de 2018 à 2021, et qui est l’équivalent britannique du Council on Foreign Relations américain (C.F.R.), ce véritable « gouvernement de l’ombre » des États-Unis.
En août 2013, Jim O’Neill déclara que l’acronyme « BRIC » n’avait plus aucun sens : « si je devais le changer, dit-il, je ne laisserais plus que le « C », avant d’ajouter ironiquement : « mais cela ne ferait sans doute pas un excellent acronyme… »
Le Mondialisme avance à pas de géant !