Le monde après Fukushima

Documentaire de Kenichi Watanabe, pour Arte .

Un dérisoire dosimètre, aux carrefours ou accroché au cou des enfants, les rappelle sans cesse au monstre invisible et aux particules tueuses qu'ils tentent de retenir en disposant des bouteilles d'eau aux fenêtres. Dans la région de Fukushima, deux ans après, la vie ou du moins "l'existence" des habitants continue, en intégrant au quotidien la pollution radioactive. Au-delà du séisme et du tsunami, la catastrophe nucléaire a révélé les lézardes d'un système et sa criminelle arrogance. Et tous se souviennent avec effroi de la série d'erreurs et d'atermoiements qui a scellé leur destin, les politiques préférant "minimiser la situation au lieu de réduire les risques".

Partie 1 :

Partie 2 :

Partie 3 :

Partie 4 :

Partie 5 :

Partie 6 :

Tags : Santé Nucléaire International Japon Fukushima

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5 réactions à cet article

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Nora Inu 9 mars 2013 12:01

Merci aux modérateurs pour avoir passé ce documentaire malgré le saucissonage en 6 parties ; désolé , mais je ne l’ai pas trouvé en une seule .

Le sociologue allemand , Ulrich Beck , est encore un de ces pseudo-sachant ne travaillant que sur des concepts , de l’immatériel , de plus faux à la base : "Fukushima est le summum de l’intelligence humaine" !?!

Le témoignage de cet inspecteur américain qui avait constaté que les turbines d’évacuation de l’eau des piscines avaient été monté à l’envers , que placer une piscine sur pilier était une abérration , et que des dizaines d’autres points de contrôle étaient "non-fonctionnels" ...

Ce témognage en disait long sur "le summum de l’intelligence humaine" .

Quelqu’un se rappelle t’il des références de ce témoignage ?

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  Lisa SIon 9 mars 2013 13:33
  
  L’intelligence humaine est bien plus féconde que l’intelligence animale, sauf que cette dernière est souvent beaucoup plus rapide...notamment dans le cas du tsunami de Sumatra
  
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    cass_la gauloise 9 mars 2013 14:24
    
    mouai et c’est encore le même japonais larbin et vendu, réélu à la tête de l’aiea
    
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      yo 9 mars 2013 22:00
      
      Il y un peu de propagande dans ce documentaire.
      
      Grâce aux travaux du docteur Youri Bandajevsky sur les enfants de Tchernobly, on connait les conséquences des faibles doses.
      .
      Augmentations des maladies cardiaques.
      Faiblesse physique.
      Sensibilité aux maladies.
      etc
      .
      Il n’y a aucune raison de faire d’autres études sur quelques choses de connus.
      .
      L’argument du "on ne sait pas" ou du "il faut étudier pour comprendre" n’a plus de raison d’être.
      .
      C’est un mensonge de la part des scientifiques pour auto-financer leurs propres travaux qui de toute façon n’aboutiront pas car avant tout dans ce genre d’étude, il faut des gens intègres.
      
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        Nora Inu 9 mars 2013 22:30
        
        Il y un peu de propagande dans ce documentaire .
        
        @ Yo
        
        Ah bon , laquelle ?
        
        Il n’y a aucune raison de faire d’autres études sur quelques choses de connu .
        
        Ben ,si . On connait l’aérodynamique ( par exemple) , et pourtant ça s"étudie encore .
        
        " ... car avant tout dans ce genre d’étude, il faut des gens intègres."
        
        Donc , il faut étudier , ou pas , ou si ...
        
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