Missile Orechnik : Vers une guerre nucléaire ou une nouvelle architecture de sécurité internationale ?

Dans cette nouvelle édition spéciale de L’Afrique émergente, j’ai l’honneur et le plaisir de recevoir Erwan Castel, volontaire breton sur le front du Donbass de février 2015 à juin 2023, expert et analyste militaire.

Avec lui, en sa qualité d’observateur avéré et averti des questions militaires, de sécurité et de Défense, nous allons analyser les répercussions sur les équilibres géostratégiques mondiaux de l’introduction du missile de moyenne portée Orechnik par les Forces aérospatiales russes dans le conflit en Ukraine.

Dans le contexte de la fin des traités ABM, Starts (1,2,3), New Start et FNI de contrôle et de limitation d’armes balistiques nucléaires, Orechnik est-il la réponse du berger à la bergère ? Vers un nouvel équilibre de la terreur et donc une nouvelle architecture de sécurité dans le monde ?

Tags : Afrique Etats-Unis Angleterre Russie Ukraine Armes

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Cathy 4 décembre 2024 05:41

Bonjour,

Castel c’est toute une histoire, je serai de vous, je ne le prendrai pas comme caution, après guerre, vous en apprendrez de bonnes sur ce type ! )))))))))))

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  AmonBra 4 décembre 2024 16:23
  
  Merci @ l’auteur pour le partage.
  
  Un missile Zircon, pour ne citer que ce système d’arme hypersonique, peut impacter sa cible en phase finale à une vitesse comprise entre mach 10 et 20.
  
  Manœuvrant et pouvant frapper quasiment à la verticale, il peut par sa seule force cinétique sans charge explosive, traverser de part en part un porte avion U$ quelle que soit sa taille.
  
  Autant dire que l’ère de la politique au XX siècle du porte avion, continuité mise à jour de celle de la canonnière coloniale au XIXème, est définitivement révolue et donc, avec elle, celle de l’hégémonie occidentale imposant in fine ses désidératas à coup de F35 et autres"tomawaks".
  
  L’avance technologique militaire des russes et, semble t il, partagée par les chinois, iraniens, nord coréens et même yéménites, vient tout simplement, excusez du peu, de nous faire basculer dans une autre phase de l’Histoire. . .
  
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