Températures extrêmes et Acier en fusion à Ground Zero (WTC)
De nombreux témoins – pompiers, secouristes, ingénieurs du génie civil, responsables du déblaiement, etc. – ont rapporté la présence de chaleurs extrêmes et d’acier en fusion dans les décombres du WTC, et ce jusqu’à 10 semaines après les attentats.
Or, le point de fusion de l’acier (env. 1500°C) est largement supérieur aux températures qu’atteignent les incendies de bureaux et les feux d’hydrocarbures. Ceux-ci dépassent rarement les 800°C, bien qu’ils puissent atteindre 1000°C dans des conditions optimales, lorsque l’alimentation en combustible et en oxygène est abondante et qu’elle se fait dans les proportions idéales. Ce qui n’était pas le cas dans les gravats densément tassés de Ground Zero, pauvres en oxygène et en matériaux combustibles.
Températures extrêmes et Acier en fusion à... par ReOpen911
Pour en savoir plus sur les effondrements des Tours Jumelles, nous vous recommandons de lire l’article "Les explications officielles de la chute des Tours Jumelles : fiction ou réalité ?" que nous venons de publier sur notre site.
Résumé de l’article : Des centaines de témoignages d’explosions, des effondrements à une vitesse proche de la chute libre, des feux inextinguibles dans les décombres, la présence d’acier fondu, etc. ... Des experts soutiennent que la réalité observée est incompatible avec la théorie officielle des effondrements (par incendies) mais qu’elle corrobore l’hypothèse d’une destruction volontaire par explosifs. Point sur une controverse scientifique.
Tags : Etats-Unis International Science et techno 11 septembre 2001 Terrorisme
11 réactions à cet article
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Comme disait "je ne sais plus qui" ; on ne sait pas ce qui s’est passé précisément mais on peut dire sans risque que ça ne s’est pas passé comme le raconte la commission du 11 septembre
Je crois par ailleurs qu’on va avoir quelques débats croustillants à l’occasion du 10ème anniversaire . De là à ce que les autorités accepte une nouvelle enquête (indépendante cette fois) , il est un pas que nous ne franchirons probablement jamais .-
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pour aller plus loin sur le 11 septembre
www.eyeswideopen.over-blog.com
" V "-
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les anti truther rapportent qu au lieu d acier ce serait de l aluminium ( fusion a 660 degrés) tres présent dans les instalations.
quant au feu des semaines plus tard il est tres probable que dans des décombres de 40 metres de haut il y ait des poches d air et divers combustibles ( mobilier, papier, isolation...)je ne croie pas vraiment a la version officielle mais un vrai débat serait interressant pour trier les vrais zones d ombres des fausses suspicions qui font perdre de la crédibilité au mouvement truther.-
L’aluminium fond en effet à 660°C mais il reste blanc en fondant. Or ce que nous voyons sur différentes images, c’est du métal incandescent de couleur jaune, une couleur qui par ailleurs indique des températures approximatives de 1000°C. De plus, l’ASCE (FEMA) qui fut en charge de l’enquête initiale a pu disposer de deux échantillons de poutres d’acier montrant « une corrosion et une érosion sévères » ainsi qu’une fusion pour l’un d’entre eux.
De plus, il y a ces photographies d’étranges blocs de matériaux ayant fusionné sous l’effet de la chaleur et recouverts de rouille, ce qui indique « l’abondance de fer [ou d’acier] ». Aucun autre matériau ne rouille en s’oxydant.
Etc.
Très honnêtement, la présence d’acier en fusion ne semble guère faire de doute.
Pour en savoir plus, nous vous invitons à lire notre article point-clé dont le lien est communiqué dans le descriptif de la vidéo.
Bonne soirée -
@ReOpen911
Alors vous, vous en tenez une couche ! L’acier chauffé jusqu’à la fusion va changer de couleur passant de rouge à orange, jaune et blanc. Qui plus est, il ne suffit pas à l’acier de fondre pour pour être très cassant, je vous laisse regarder ceci :Enfin, je ne sait pas si vous êtes au courant, mais le point de changement d’un état pour la matière (fusion, ébullition, sublimation etc.) dépend aussi de la pression qui ne devait pas être la même lors des attaques du WTC.
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On nous aurait menti ???
Blague à part ... je me pose de sérieuses questions sur les spécialitstes en tous genres, comme par exemple,
Michel Chevalet, journaliste scientifique et auteur ... http://www.svsproduction.com/MichelChevalet/Il fait office de spécialiste scientifique en tous genres sur FR2 ... de l’accident d’aviation à l’accident nucléaire, en passant par tous genres de catastrophes ... tjrs prêt à tout expliquer ...
IL est clair que ce gars en plus de sa science sait réfléchir ...Mais alors ??? s’est-il déjà prononcé sur le 11/09 ... (pas que je sache et si quelqu’un sait, merci de le faire savoir) ... car s’il se prononce sur le sujet, il sera bien obligé de reconnaître qu’il y a comme un truc (milles trucs) qui cloche ... sinon, il se décrédibilise à tout jamais.
J’en suis certain, car même s’il ne s’est pas prononcé ... Michel Chevalet ne doit pas gober la version "ô combien fabuleuse ..." Dommage que personne ne puisse lui poser publiquement la question !!!
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Les conspirationnistes affirment que les supposées "flaques d’acier fondu" dans les décombres de Ground Zero seraient la meilleure preuve d’une "démolition contrôlée".Cette déduction est déjà en soi une bourde, vu que les démolitions contrôlées ne laissent jamais de flaques d’acier fondu. Même si un produit incendiaire tel que le thermate était utilisé, l’acier se serait solidifié peu après l’extinction de l’incendie, et certainement pas 6 semaines plus tard.De surcroît, examinons les photos :1) D’après Loose Change, les relevés thermographiques de Ground Zero pris par la NASA (00:45) indiqueraient des zones de température jusqu’à "1500°C" (point de fusion de l’acier). En réalité, la NASA se contente de rapporter "plus de 400°C". Quant à l’USGS (Institut US de surveillance géologique), il évalue la température maximale à 730°C.2) Deux autres photos (01:18 et 01:21) sont supposées révéler la présence d’acier fondu. Mais le fait que les pelleteuses soient à même de manipuler ces objets rougeoyants sans qu’ils s’écoulent montre qu’il ne s’agit pas de métal en fusion. L’acier commence à rougeoyer à partir de 550°C.3) Plus fort encore : la photo d’une supposée "flaque d’acier fondu" autour de laquelle s’affairent des pompiers à moins d’un mètre de distance (01:59). Lesdits "spécialistes" exposant cette "preuve" n’ont probablement jamais visité une aciérie :http://clabedan.typepad.com/photos/uncategorized/2008/02/24/arcelor_acier.j pg . Steven E. Jones a non seulement utilisé une version retouchée de cette photographie, de façon à ce que la teinte se rapproche de celle du métal fondu, mais en plus il a omis de présenter la vidéo dont cette photographie est extraite.Quoi qu’il en soit, des incendies ont bien duré jusqu’à plusieurs semaines à Ground Zero, avec des températures pouvant atteindre près de 1000°C. Ce qui a pu créer des flaques de métal fondu tel que l’aluminium (point de fusion à partir de 540°C selon les alliages avec le cuivre), qui existe en quantité abondante dans les avions et les panneaux qui recouvraient l’extérieur des 2 tours.
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