Pascale Clark traite Demorand de "gros"
Tags : Médias
22 réactions à cet article
-
"
Pascale Clark traite Demorand de "gros"
"Ce qui à mon sens réponds parfaitement à la question :
Est-ce que les journalistes font de l’information ou du bruit ?
-
Ils sont bien les REDACTEURS d’Agoravox-TV de laisser passer une merde pareil !!!!!
Deux vidéos mise par mes soins, toujours pas diffuser !!!!
Faut être quoi ?? Premier de la classe, pour diffuser !
La censure marche bien sur Agora !! -
-
Le 31-12-2010 deux vidéos (VOST.fr) ! D’une durée de 10nm chacunes.
Le titre : L’étatisme ne provient pas de preuves historiques ou de principes rationnels.
Le 02-01-2011 une vidéo de 5 mn (clip adam freeland) sur le "consumérisme".
Le titre : Ils veulent notre Âme.... We Want Your Soul (c’est pas du RAP, ça changera un peu !!!!!) -
des raisons invoquées pour justifier ce refus ?
-
Non !!!
Et les articles sont toujours en attente de validation.... -
Bonne répartie ce Demorand, quelle puérilité de la part de Clarke , Zemmour avait donc raison sur son compte
-
C’est vrai, se moquer du physique des gens n’est pas très glorieux ! mais si elle avait rajouté "con" à la fin, sa phrase aurait pris tout son sens et toute sa pertinence !....
-
Oui, elle n’a pas osé à l’antenne, mais elle le pense sûrement ! ahah
-
Tu as raison ,après deux écoutes ,il n’y a pas de doute sur le sens de la phrase.
-
Le problème de Demorand, c’est qu’il est tellement con, qu’il n’a pas compris et l’a pris au premier degré. Trop con.
-
@perleseb
Toute vidéo a un intérêtDéjà elle révèle le fonctionnement de la modérationDe plus, celle-ci montre que Et Jenny Et Demorand ont des problèmes de compréhension...(...Clarke fait une mauvaise blague (elle n’est pas humoriste, mais elle a une culture dépourvue d’autocritique), dans la lancée de la moquerie sur sa coiffure......moquerie elle-même dans la lancée du jeu de mot avec le titre de l’émission "la tête au carré"...et ce, après avoir prévenu "ah ouais, on est sur ce ton là")Par ailleurs, c’est un exemple de plus de l’entre-soi journalistique, et du plaisir que prennent les conservateurs à occuper les ondes... -
Oui, Requete, mais même si Jenny ne l’a pas fait exprès, son titre est très bon : les titres un peu long sur Ago sont coupés, alors on s’attend à ce qu’il soit plus long une fois que l’on va cliquer dessus, mais non. Curieux. Jenny donne aussi le droit de réponse à Demorand où il nous prouve à quel point il est ... rasoir. Autant le ton sans prétention entre Pascale Clarke et Patrick Cohen est rafraîchissant (au passage, c’est Patrick Cohen qui tend la perche à Pascale Clarke), autant on s’ennuie grave avec les gémissements de Nicolas Demorand.
-
Pour tacler Demorand, on pouvait pourtant dire bien des choses, en somme !
-
-
Personnellement j’aurai plutôt traité Demorand de Crétin (Pour être Gentil). Il y a plus à dire sur ce qu’il raconte que sur son Physique dont on se tape complètement !!
-
"J’ai souvent remarqué que ceux qui critiquent le physique des autres ont rarement eux-mêmes un physique avantageux..."
Jusque là, l’auteur (Jenny) nous explique en gros que "c’est celui-qui dit qui y est". Bon, à défaut de profondeur, la phrase est lisible. Pour le débat, voir le programme du cours préparatoire.
Mais Jenny, en verve ce jour-là, continue sur sa lancée :"...Ça se vérifie une nouvelle fois..."
Ah ? Jenny a donc dû voir la tête de Pascale Clark. Ok elle ne lui revient pas. Malheureusement, vu l’axiome "c’est celui-qui dit qui y est"..ça nous en dit long, donc, sur la gueule de Jenny...Sinon, le sujet : "On lèche les puissants, on écrase les opposants" est très intéressant, à défaut d’être nouveau. Ce qui est nouveau, c’est le "Demorand" du 2° type, modèle machine à profit.
Soit il est réellement bête, soit il dort mal, soit il a de gros problèmes d’argent à résoudre... quoiqu’il en soit, je m’en fous , je n’écoute pas les machines à radio-trépaner. En tout cas, c’est pas Demorand qui devait partir, c’est Val et la clique à Sarko. Ce qui est fait est fait.
Par contre, Pascale Clark, la voix neu-neu de France-Inter, semble savoir ce qu’elle dit et pourquoi. D’ailleurs ses émissions se caractérisent en général par la parole donnée à l’autre.
J’aime Pascale Clark, sa spontanéité et sa franchise.Et ça c’est vrai, spontanéité et franchise sont devenues si choquantes sur les ondes ! Nationales en plus !
Jenny ! Que fait la police ?-
Etre réduite à qualifier quelqu’un de "gros hahahaha", c’est se mettre à ce qu’on croît être son niveau.
-
Le pape se croît toujours infaillible. Quel pauvre crétin !
-
Dans la deuxième vidéo, on parle d’excuses que Mélenchon devrait faire à Demorand ! Non mais on croit rêver !!!
-
Clark et Demorand, deux personnes imbues , prétentieuses, arrogantes étouffées par leur égo dont les cancans n’intéressent personne
-
Demorand prétend avoir une haute idée de la confraternité, malheureusement trop souvent déçue. Voyons voir : "il a eu cette charmante attitude que j’ai bien connue en Argentine, qui consiste à regarder ailleurs pendant que les gens disparaissent. Les jeunes talents qui regardent ailleurs vont loin mais ils vont vides" Miguel Benasayag parlant de Demorand après qu’il a été viré de France Culture en 2004 !
http://www.acrimed.org/article3392.html
Le précédent Benasayag
Cette affaire en fait remonter une autre à la surface. En mars 2004, Miguel Benasayag, chroniqueur dans « Les Matins de France Culture », animés à l’époque par Nicolas Demorand, est renvoyé car sa chronique est jugée « trop engagée, trop militante » [2].
Le lendemain de l’éviction du chroniqueur, Nicolas Demorand fait preuve d’un courage… incertain : « ces élections font bouger les rendez-vous habituels, pas de chronique de Miguel Benasayag », annonce-t-il, avant de « préciser » le jour suivant : « Un mot à l’attention des auditeurs qui se sont étonnés par mail de ne plus trouver Miguel Benasayag dans l’émission, qu’ils se rassurent, dès lundi 8h35, nous aurons la joie d’accueillir dans l’équipe un autre chroniqueur pour donner un nouveau souffle à ce courant de pensée. » Pour plus d’explications, il faudra repasser… [3]
… Ou demander à Miguel Benasayag, qui est revenu sur le comportement peu glorieux du jeune animateur, la semaine suivante : « Nicolas Demorand, le jour où je me suis fait virer, comme un petit Judas de sous-préfecture, m’a fait la bise et m’a dit :"Va à ton rendez-vous avec Laure [Adler, directrice de France Culture]. Il n’y a aucun problème ma poule, nous restons groupés." J’ignorais pourquoi on devait rester groupés, je ne savais pas que j’allais me faire virer ; et après il a eu cette charmante attitude que j’ai bien connue en Argentine, qui consiste à regarder ailleurs pendant que les gens disparaissent. Les jeunes talents qui regardent ailleurs vont loin mais ils vont vides »
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
Ajouter une réaction
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page
Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.
FAIRE UN DON