Face à face tendu entre les fans de Dieudonné et la LDJ

Désinformation grave du Figaro concernant Dieudonné

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Article ahurissant du Figaro , hier, qui désinformait ouvertement ses lecteurs, en leur faisant croire à une « bagarre générale » survenue au procès en appel de Dieudonné au TGI de Paris ! En fait de bagarre, il ne s’agissait ni plus ni moins que d’une bande de dégénérés d’une grande vulgarité qui a fait irruption dans le tribunal et chanté l’hymne sioniste scélérat DEVANT une rangée de gendarmes qui ont dû apprécier l’injure suprême. Sans parler de l’offense faite au TGI puisqu’ils braillaient à l’intérieur du palais de justice comme une meute alcoolisée de supporters du PSG ! Imaginez une seconde le tollé médiatique s’il s’était agi de jeunes maghrébins entonnant leur hymne national, par exemple, dans l’enceinte du palais ?!! Tour du monde des unes TV-journaux-radios…

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Le procès s’est bien déroulé. Les avocats de Dieudonné n’ont rien laissé passer. L’avocat général ose, toute honte bue, demander une peine de prison pour une chanson en 2013 en France !!! C’est dire dans quel sous-sol la France est tombée. Deux témoins de choc, le couple gay le plus glamour de l’Hexagone, Germain Gaiffe et Alfredo Stranieri, ont réalisé des prestations assez fulgurantes. Petit regret, l’absence de Carlos, auteur de la chanson « Chaud Ananas » et qui devait logiquement être présent. La partie civile a essayé de faire croire que le titre de la parodie était « Shoah nanas » et non pas « Chaud Ananas » ! Pourtant c’est très dur de trouver le mot « nanas » dans le dico mais il faut dire que l’esprit retors de certains n’est plus à démontrer. À l’instar de la « Quenelle », décrite comme un salut nazi inversé alors que n’importe quel imbécile des plus ignorants sait que l’inversion d’un symbole inverse son sens, ce qui ferait de la quenelle un salut anti-nazi ! Mais allez parler à des sots et leur faire comprendre ce b.a.-ba de la symbolique traditionnelle. Pour ma part, j’ai renoncé à perdre mon temps avec eux et préfère de loin m’attaquer aux pontes du système.

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Résumons : En France, en 2013, vous pouvez venir à 20 insulter et offenser des gens dans un TGI à Paris et rentrer calmement chez soi ; par contre, écrire et entonner une chanson rigolote vous mène droit à la prison ! Il y a certaines loges de truelleux qui devraient plancher sur le sujet de la liberté d’expression française… Il se peut que ça les change un peu des partouzes du Carlton et des agapes de Kucheida aux frais du contribuable.

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Quant au Figaro, ce ramassis d’abrutis et de pleutres, laissons le temps faire ce qu’il a à faire, leurs ventes s’écroulent de plus en plus, car personne ne peut encore gober leurs mensonges.