Grèves sur les retraites : Ras le bol de l’oligarchie syndicale et de l’Etatisme
13 réactions à cet article
-
Grèves et manifs ça veut dire mobilisation pour ceux qui en ont la possibilité et qui bénéficie également à l’ensemble des français qui sont contre la politique libérale de démantèlement des services publics et des acquis sociaux.
Moi je vois que le projet libéral compte nous mener droit vers la situation calamiteuse des Etats-Unis, avec des scandales de type Exxon, cf. la privatisation de l’électricité en californie avec des pannes de courant & co. Des accidents ferroviaires au Royaume Unis. Etc. Etc.
On ne voit pas que les pays dits libéraux soient dans une meilleure situation financière que des pays avec une véritable protection sociale publique. Votre projet c’est juste de faire passer cette énorme manne financière du public vers le privé, avec à l’horizon des calamités comme la retraite par capitalisation, les fonds de pensions, la privatisation de l’eau, des péages d’autoroute.
etc. etc.
http://www.dailymotion.com/video/xbqmrb_la-guerre-economique-francois-assel_news-
Je vous rassure, la situation des USA n’est pas exemple libéral. Ca ne l’était déjà pas du temps du Bush, ça l’est encore moins du temps d’Obama.
Et non le système financier actuel n’a rien de libéral, pas plus que le soutien au banques. C’est au contraire de l’interventionnisme pur. Quelque chose d’assez proche de votre camp finalement. -
Sauf qu’enlever la séparation entre dépôt sécurisé et investissement à risque contredit tout à fait la possibilité de laisser couler une banque devenue de risque universelle, contrairement à avant l’UE (avec les lois qui empêchait, de nouveau, une dictature de la finance et favorisait l’économie physique).
Les petites rhétoriques à 2 balles existe aussi chez les libéraux. Pour qui vous prenez vous ? La race supérieur ?
La meilleurs économie est mixte comme pendant les 30 glorieuses. Les excès sont insignifiants de dogmatisme.
-
"Sauf qu’enlever la séparation entre dépôt sécurisé et investissement à risque contredit tout à fait la possibilité de laisser couler une banque devenue de risque universelle, contrairement à avant l’UE (avec les lois qui empêchait, de nouveau, une dictature de la finance et favorisait l’économie physique)."
Non, une banque même universelle peut parfaitement couler sans léser ses déposants, si les droits de propriété sont correctement définis. Les banques n’ont pas le droit d’utiliser les dépôts contrairement à aujourd’hui. Séparer les banques dépôts et les banques d’investissements est une sécurité mais elle est ni nécessaire, ni suffisante.
"Les petites rhétoriques à 2 balles existe aussi chez les libéraux. Pour qui vous prenez vous ? La race supérieur ?
La meilleurs économie est mixte comme pendant les 30 glorieuses. Les excès sont insignifiants de dogmatisme."
Et vous pourqui vous vous prenez ? "La meilleurs économie est mixte comme pendant les 30 glorieuses. " c’est pas du dogmatisme ?
-
Voilà une tarte à la crème particulièrement indigeste et l’humour de ce monsieur est encore plus lourd qu’une crème pâtissière vendue dans un supermarché.
Par ailleurs le brillant raisonnement sur les prélèvements résiste difficilement à une simple objection : comment une entreprise pourrait-elle vivre si elle ne bénéficiait pas de façon perenne des infrastructures publiques lui permettant d’assurer sa logistique (réseau routier, distribution de l’énergie, formation initiale, santé publique, etc...).
Du haut de sa chaire virtuelle, ce donneur de leçons nous offre tous les poncifs de la vulgate libérale, oubliant que sans le soutien des Etats le système financier aurait fait s’écrouler tout le crédit mondial.
Il ne suffit pas de s’autoproclamer expert économique pour en être un. Et l’on sent bien dans ses propos que le libéralisme économique ne fait jamais l’objet d’un examen, c’est un dogme.
-
En matière de dogmatisme vous avez l’air d’en connaitre un rayon...
En gros, des attaques personnelles, puis l’affirmation que sans les impôts pas d’infrastructure, ce qui n’est en rien l’objet de cette video.Bref, vous ne parlez par contre absolument pas au fait :- que des sommes colosalles prélevées obligatoirement sont gérées par des organismes sans représentativité.- que la liberté de choix ou l’efficacité soient totalement oubliés dans l’organisation actuelle.Ca vous gène peut être d’en parler ? Pourquoi ?Non, c’est un méchant libéral qui dit quelque chose alors ça suffit à le discréditer... voilà à quoi ressemble l’argumentation étatiste depuis plusieurs décennies. Ca va commencer à être léger à l’heure des grandes faillites. -
Vous êtes un peu sévère, Elisa !
...
Je le trouve personnellement, intéressant et plutôt très cohérent dans ses propos !-
ca tient la route son discours , mais alors que font ils ces gens là à part parler et vendre des livres ! ils feraient mieux de venir donner un coup de main...
gauche droite syndicat tous des vendus au micro-monde financier...-
ça ressemble à l’autogestion , ça a le goût de l’autogestion mais ce n’est pas de l’autogestion , de quoi y perdre son Latin .
Bref on est pas sortie de l’auberge ...-
Vidéo au top, comme d’hab. Evidemment il y a toujours un pourcentage d’irréductibles superstitieux qui continuerons d’idolâtrer l’Etat quoiqu’il advienne.
-
Et le contraire ? Le brûler comme une sorcière est vraiment plus respectable en tant que vrai citoyen et pas gros nomade sans structure.
-
Pas d’inquiétudes, avec une dépense publique à 56% du PIB on a du bois pour les 30 prochains hivers.
-
Euh ouais mais bon faut pas non plus oublier qu’il est ici traité des syndicats dit représentatifs et non de ceux qui ne le sont pas (aucune subvention de l’Etat). C’est quand même oublier que des syndicats basés sur des systèmes fédératifs et dans lesquels la hiérarchie est horizontale existe. Cela s’appelle Confédération nationale du travail (CNT-AIT) et Alternative libertaire (AL). Et chaque membre à son mot à dire.
Ensuite faut arrêter de nous faire croire que c’est parce qu’on est socialiste que l’on est étatiste.
De plus vous ne pouvez pas dire que l’action des syndicat représentatifs est politique, elle est plus de l’ordre de l’immobilisme . La CGT par exemple à abandonné, en 1995, l ’article 2 de la charte d’Amien, qui donnait un caractère politique à l’organisation.
-
-
-
-
-
-
Ajouter une réaction
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page
Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.
FAIRE UN DON