Le barbecue, un « symbole de virilité » : Michel Onfray répond à Sandrine Rousseau
Michel Onfray était le 30 août l’invité de Laurence Ferrari dans La Matinale sur CNEWS. Il est notamment revenu sur la polémique liée aux propos de la députée écologiste Sandrine Rousseau selon qui le barbecue était « symbole de virilité ». « Ce sont des pensées qu'on a quand on a 13 ans, lorsqu'on s'oppose à papa, maman », a-t-il déclaré.
Tags : Michel Onfray Polémique Sandrine Rousseau
21 réactions à cet article
-
-
@shouitte votre commentaire lapidaire et con
-
@shouitte
C’est vrai qu’à côté, l’intervention de Rousseau était complètement mesurée et dénuée de mépris ?
Sur quelle planète vous vivez exactement ? -
Que pense Sandrine Rousseau d’ une femme qui fait cuire des merguez au barbecue ?
-
@paulau
Une non-binaire qui fait son coming out ? -
Il ne manque plus que les propos de Moix sur la famille pour compléter ceux de Rousseau ou ceux d’Apathie qui parlait de raser Versailles.
Qui sont ces gens pour nous infliger leur hargne ?
Il est vrai que détruire la famille et la patrie, c’est la tendance favorite des mondialistes pour faire de nous des individus isolés, des consommateurs en proie aux multinationales qui veulent régner sans partage, tel des antilopes isolées du troupeau par des hordes de lions affamés.
-
L’article du jour était évidemment celui de Miona, avec l’exposé limpide d’Aurore Stéphan sur la fin des métaux dans un monde à 8 milliards d’humains, alors qu’ils ont fait les sociétés depuis l’antiquité.
Mais Avox aime gâcher les éditions intéressantes en plaçant en tête d’affiche un titre à la kon, avec un sujet et des protagonistes dont on s’en bat les steacks juteux et les rognons blancs.
Du coup, le contraste est vertigineux entre le futur qui se dessine et la niaiserie des portes- paroles politiques qui devraient savoir le présenter.
Oui, c’est fait exprès, le théâtre mediatico politique est entretenu pour rendre les gens perdus, débiles et fous. Mais c’est bien dommage que le média citoyen n’assume plus sa raison d’être.
-
A propos du mot « viril », insistons sur le fait qu’il sert actuellement à indiquer tout ce qui est masculin. Il exprime entre autres une idée de force, mais de force génératrice. Or, le mot « viril » ne signifie pas seulement « force », il signifie aussi « vertu », la vertu masculine, c’est-à-dire le contraire de la force génératrice, la continence. Mais cette signification du mot s’est altérée et on a confondu « vir » avec « vis », (force). Le mot « vertu » du latin « virtus » dérive du mot « vir » (homme), et forme le mot « virilité » qui indique le courage MORAL de l’homme. La base de la vertu, était pour l’homme, la résistance à son instinct ; il faisait acte de courage moral s’il résistait à l’entraînement sexuel ; pour cela il lui fallait mettre en jeu la volonté. De là, courage, volonté, vertu, étaient considérés comme des actions viriles, morales, parce que c’est chez l’homme seulement que les impulsions de l’instinct ont de fatales conséquences.
NB : Dans le conte de « La Belle au Bois dormant », le Prince charmant, après maintes aventures dangereuses, parvient dans la forteresse de la Princesse endormie, la réveille et l’épouse. Dans la littérature sacrée hindoue, il est aussi question de Chevalerie et de « l’Açvamedha » ou « sacrifice du cheval », ce qui est considéré comme le « Sacrifice » de l’ordre le plus élevé. Le Cheval figure traditionnellement l’impétuosité des désirs. Notons au passage l’importance du symbolisme chevalin, que l’on retrouve dans diverses représentations de la Parousie universelle (La monture blanche est un attribut notamment commun au Christ glorieux et au Kalki-avatârâ de l’Apocalypse hindoue). Quand l’homme fait corps avec le cheval, il n’est plus qu’un monstre mythique, le « Centaure » : il s’est identifié avec les instincts animaux. Le Cheval représente donc l’instinct animal de l’homme qu’il lui faut discipliner, maîtriser, apprivoiser. Alors s’opère en lui une « transformation » : il devient « Pégase », le « Cheval ailé » de la légende grecque, qui s’élève au-dessus du danger du pervertissement, vers les hautes régions spirituelles et sublimes.
C’est ainsi que seul le « Prince » (charmant), c’est-à-dire celui qui, par le développement de sa conscience supérieure, est amené à rechercher le monde des « Principes », des causes et des origines, est digne de célébrer « l’Açvamedha », et de se voir ouvrir les « voies du divin ».
LIEN-
@Étirév
Merci de ces rappels, le terme avait alors un sens laudateur, désormais il est devenu quasiment péjoratif (le beauf, en quelque sorte). -
@Étirév J’ai vécu avec un homme plutôt écolo, pas du tout genre beau, mais créatif et artisan. Il adorait faire des barbecue ; Le contact alchimique avec le feu... Mais il n’y a pas que les Centaures. Il y a aussi CHIRON. En plus le signe du serpentaire (artiste, guérisseur) se trouve dans le signe des sagittaires. On retrouve plus de "beaufs" parmi le signe du TAUREAU.
-
@Mélanippe lire pas beauf pour beau... ouaih, cela fait cowboy... Attention aux clichés. D’autant plus qu’un homme qui affiche trop sa virilité est rarement le meilleur des amants au lit...
-
Etirev en plus dans l’apocalypse si on a choisi des chevaux. C’est parce qu’ils sont des psychopompes. Qui ont la fonction de guider les morts...
-
Par delà le barbecue qui est une illustration symbolique, il y a toute la théorie anti-mâle des ’’écoféministes’’ (le nouveau rousseauisme façon Sandrine). Il faudrait éplucher l’ensemble des déclarations et des écrits pour voir s’il n’y a pas matière à dépôt de plainte pour campagne de dénigrement en fonction du sexe, car la misandrie est tout aussi sexiste que la misogynie.
-
-
"propos de la députée écologiste Sandrine Rousseau selon qui le barbecue était « symbole de virilité »."
Par Thor !!!
Comprenez bien une chose : agresser l’intelligence fait partie du processus utilisé par les dictateurs.
Alors, je sais, Rousseau n’est pas à la tête de l’état, mais ça ne change rien. L’intention est la même.
C’est pire parce que ça vient du "peuple".-
Je signale qu’en tant qu’organisateur du célèbre "Barbecue annuel au Bates motel" j’entre totalement dans le champ d’une virilité pleinement exprimée, ce qui contredit les viles langues venimeuses qui tordent mon appendice symbole de la dite virilité jusqu’à en former un infamant point d’interrogation...
Ceci étant dit, il est certain que cette histoire de barbecue aura sa place dans les futurs livres d’Histoire...c’est une controverse d’une ampleur au moins égale à celle de l’affaire Dreyfus...
Et puis ça va, la populace peut monopoliser son temps de cerveau disponible pour cogiter doctement sur les secrets cachés de la saucisse ou du steak grillés en célébration du patriarcat triomphant et dominant, il n’y a aucune autre actualité qui puisse mériter qu’on y prête attention...
Pendant que la saucisse grille sur les braises incandescentes de la femelle outragée, certains esprits futiles pourraient regarder ailleurs, sur le programme de l’hiver prochain, par exemple...oh, ce ne sera plus la saison du barbecue, mais la chronique hivernale sera remplie de quelques menues "contrariétés" dont la mise en œuvre se fait dans une discrétion de violette...
Il sera temps d’en reparler devant le fait accompli...
-
-
https://nitter.net/pic/media%2FFbZdu6VXgAcI05g.jpg%3Fname%3Dsmall
source : sardine ruisseau
-
je suis venu sur cette page pour voir les réactions
va t on continuer à donner de l’ importance à ce qui n’en a pas ?
.. ;ou dois je , pour faire état de ma conscience profonde , et donc de mon importance , vous proposer de débattre sur les effets néfastes que l’on occasionne lorsque l’on respire ou que l’on marche.....
il y a tellement de luttes urgentes et essentielles à mener contre le mondialisme satanique.....
-
@kirios
Ce qu’il est utile de montrer est que ce genre de conneries PREOCCUPENT CEUX QUI NOUS DIRIGENT OU ASPIRENT DE LE FAIRE. Et ça, si on considère tous les vrais problèmes d’aujourd’hui, c’est vraiment affigeant. Il n’est donc pas étonnant qu’on le remarque ici. -
Je suis woke. J’ai compris que les moules-frites, c’est le résultat d’une construction mentale associant le mythe phallique du patriarcat oppresseur, à la faiblesse de la vulve conchilycole conquise à marée basse.
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
Ajouter une réaction
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page
Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.
FAIRE UN DON