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Accueil du site > Actualités > Politique > Le Conseil constitutionnel : une escroquerie ?

Le Conseil constitutionnel : une escroquerie ?

00:00:00 - Dans cet épisode

00:01:39 - Présentation de l'invité

00:02:47 - Actualité

00:03:44 - C'est quoi le RIP ?

00:08:40 - Quels ont été les arguments du Conseil Constitutionnel ?

00:14:15 - Le Conseil constitutionnel : une organisation mal connue

00:15:25 - Qui peut être nommé au Conseil Constitutionnel ?

00:16:17 - Quels sont les membres actuels du Conseil Constitutionnel ?

00:19:09 - Le problème de la partialité

00:23:04 - Les deux missions du Conseil Constitutionnel

00:25:51 - L'origine du Conseil Constitutionnel : aspect philosophique : Carl Schmitt, Kelsen, Constant

00:33:49 - L'origine du Conseil Constitutionnel : aspect historique : la vision de De Gaulle

00:38:15 - Le tournant de 1971

00:54:04 - Aucune équipe, aucun argument !

00:56:36 - Pourquoi aucun Président n'a réformé cette institution ?

00:58:30 - Comparaison avec les USA

00:59:30 - Comment réformer le Conseil Constitutionnel ?

01:01:23 - Zemmour, NUPES : pour le Conseil Constitutionnel, même combat !

01:04:26 - Le Conseil Constitutionnel peut-il empêcher une "6ème République" ?

01:12:42 - Conclusion

Tags : Droit Politique Droits de l’homme Constitution Polémique




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5 réactions à cet article    


  • paul Muad Dib 19 mai 13:47

    Salut, bien sur, très bonne question donc..merci.


    • ged252 20 mai 11:15

      Et Mélenchon  ? qu’il dit Tabibian


      • ged252 20 mai 11:38

        Il reconnaît être "proche de la fachosphère"[2] mais se dit de gauche[3][4], tout en admettant qu’il n’est pas vu ainsi

        .

        Une fois dématrixé du centrisme, ça lui est égal que ces auditeurs rejoignent l’Action Française ou Mélenchon.

        .

        Il se dit souverainiste[10], mais pas patriote.

        .

        Il est pour "la démocratie référendaire" qui est selon lui le "dénominateur commun" de son camp qu’il nomme : "les souverainistes

        .

        Il est pour un Frexit car pour lui l’UE est un projet "totalitaire, bricolé par des "seconds couteaux", des nazis et des américains."

        .

        À quelques jours du 1er tour, il se dit "très tiraillé" sur le choix de son vote. Les options qu’il considère sont : vote blanc, "petit candidat prolo", ou Mélenchon[29] Il "déteste l’injonction au vote utile". Selon lui, la gauche "avait 5 ans pour s’unir"

        .

        Il dit qu’en cas de 2nd tour Macron/Le Pen, il voterait Le Pen, mais dans le cas Mélenchon/Le Pen, "à priori Mélenchon"

        Finalement il dit avoir voté Jean Lassalle au 1er tour et Marine Le Pen au 2nd tour.

        .

        Il trouve acceptable qu’une minorité se révolte et prenne le pouvoir sans qu’il y ait d’adhésion idéologique de la majorité

        .

        Il souligne ses désaccords avec Rokhaya Diallo [48] qu’il ne considère pas être de gauche, mais comme un pur produit de think-tanks américains.[49]

        .

        A propos de l’islam et de la laïcité, selon lui "les 3/4 des musulmans de gauche dans le monde ont une position plus proche de celle de Zemmour que de Mélenchon".[67]

        .

        Pour lui, quand une société va mal, l’immigration est un facteur aggravant. La France aurait abandonné le système "assimilationniste". Pour lui il faut "stopper les flux migratoires" à l’exception des réfugiés politiques, des réfugiés de guerre, des étudiants

        .

        Selon lui la gauche française devrait systématiquement se positionner du coté des laïcs dans les conflits, comme le prône selon lui "la gauche dans le monde entier, la gauche non européenne".[77]

        .

        Il situe la France insoumise à gauche mais pas à l’extrême gauche.[82]

        .

        Il dépeint Eric Zemmour comme étant autoritaire, conservateur et qu’il est "la filiation naturelle de l’une des trois familles de l’extrême droite française." [93]

        .

        Il commente la stratégie de Zemmour qui souhaite l’union entre "le prolétariat blanc et la bourgeoisie patriotes, c’est-à-dire des gens à qui il ne parle pas, avec des gens qui n’ont jamais existé".[96]

        .

        Il définit un bloc bourgeois "qui va du PS aux républicains et qui est une usine à trahir les promesses faites aux ouvriers, et les promesses faites aux souverainistes".[97]

        .

        Selon lui, il est impossible qu’un bourgeois soit patriote.[122]

        .


        .



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