si la direction avait accepté de discuter, c’eût été bien différent...
effectivement, quand dans ce pays, le président n’accorde aucune importance aux revendications de ceux qui bossent, il font en sorte qu’on s’en aperçoive et ils ont bien raison, même si les véritables responsables de la situation ( la direction qui ne voulait même pas discuter) s’en sortent blancs comme neige, laissant les employés ,qui ne font qu’exercer leur droit de négocier leurs conditions de travail avec leurs patrons, passent pour des sans-coeur !
belle gouvernance anti-sociale que de laisser et d’encourager, par action ou inaction, les citoyens à se dresser les uns contre les autres, diviser pour mieux régner, l’adage est vieux mais encore terriblement efficace !
et tout le monde tombe dans le panneau...ça fait pitié...