MAM à Matignon ? Il en a été question !
Comment faire confiance à une femme qui, suite aux consignes
de modérations financières (et bling bling ?) dans les choix de leurs vacances de de Nagy-Bocsa, fait savoir qu’elle ira « en famille au bord de la Méditerranée »
(comme le Patron »), sans préciser que ce sera le bord tunisien ? Ou encore quand elle diminue par deux la
déclaration de la surface de son
logement de fonction ?
Qui ment pour un œuf, mentira pour un bœuf ?
A Matignon et ailleurs, seuls des femmes et des hommes, politiques
ou non, vivant avant tout
l’intelligence du cœur, donc avec le sens des vraies valeurs éternelles,
peuvent limiter la casse.
En trouve-t-on
beaucoup au sein de notre petit personnel politicien prêt à prôner par l’exemple la simplicité volontaire soutenable et durable
et pour autant pas triste, mais loin des
plaisirs aussi vains qu’éphémères ?
Autrement dit une indispensable décroissance soutenable de la consommation suicidaire des uns et de
la pauvreté non méritée des autres. Un décroissance vitale pour notre pays, comme pour l’Europe
et la planète tout entière.