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Quand Raffarin flingue l’emprunt de Sarkozy

Le mercredi 25 juin, Jean-François Copé et Jean-Pierre Raffarin discutaient de la crise... L’ancien Premier ministre s’est montré critique vis-à-vis de l’emprunt préconisé par Nicolas Sarkozy.

Source : L’Express

Tags : Economie




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11 réactions à cet article    


  • 10 votes
    Guy (---.---.36.80) 29 juin 2009 18:34

    Et Valls, qu’est ce qu’il fout là ?? Un petit partage des idées novatrices libérales au côté des Copé Raffarin !!!


    • 11 votes
      Traroth (---.---.169.13) 29 juin 2009 19:17

      Cet emprunt ne servira pas à combler des dettes existantes, et ne constitue pas un nouveau plan de relance. Bref, Sarkozy va endetter la France pour faire des conneries.


      • 17 votes
        Traroth (---.---.169.13) 29 juin 2009 19:21

        "Il n’y a pas que l’Etat qui porte l’intérêt général" Ah bon ? Et qui d’autre, donc ? Les entreprises ? Laissez-moi rire ! Les entreprises sont en train de déménager "l’intérêt général" en Chine !!!

        Encore une petite réunion de libéraux en train de se congratuler de tout l’argent qu’ils ont réussi à nous voler. La présence de Valls est révélatrice. Tu n’y es pas encore, à l’Elysée, mon vieux !


      • 8 votes
        stef75 (---.---.56.147) 29 juin 2009 19:45

        Valls qui bouffent a tous les rateliers. il a vu qu il y a une ouverture de l UMP vers la gauche donc il s ’empresse comme les parasites.


        • 5 votes
          mouton.garou (---.---.33.218) 29 juin 2009 20:45

          "Que le retour de la politique ne soit pas le retour de l’état" J’aimerai connaître le salaire versé par le contribuable à M. Raffarin, en tant que représentant du dit Etat,pour dire de telles âneries ! Relisez Montesquieu, M. Raffarin, vous y trouverez la place du politique dans l’Etat. Pendant que vous y êtes, je vous suggère de plancher sur une création monétaire de l’Etat. J’hallucine ! Un représentant de l’Etat qui nous dit qu’il n’existe pas et qu’il est inutile d’attendre son retour.


          • 5 votes
            (---.---.65.121) 29 juin 2009 21:41

            Ah ces politiques vraiment prêts à tout pour ratiser nos derniers fonds de tiroirs,tant qu’il restera de l’argent sous les matelas et dans les bas de laine ils n’auront de cesse tant qu’ils n’auront pas réussi à essorer de nos poches le dernier euro.Alors un "bon" petit emprunt à la "ruse" pardon à la russe et nous voilà prêts pour la puce éléctronique.Et toujours pas de nouvelles de ces 9 700 milliards de dollars "égarés" par la réserve fédérale des Etats Unis...


            • 2 votes
              debateur (---.---.45.23) 30 juin 2009 00:27

              Pour ceux qui s’étonnent de voir Manuel Valls présent à cette réunion, peut être un petit rappel sur son parcours vous montrera qu’il est plutôt de la branche rocardienne du PS (soit franchement pas anti capitaliste - rocard est un ami de seillières d’ailleurs pour ceux qui doutent - montrant encore une fois que fricoter avec ses adversaires politiques est contre-nature). Valls c’est en fait un Strauss-Kahn en puissance. Veut finir président ou peut être diriger le FMI. Il est contre les anti-OGM, contre les anti-nucléaire, Bref ce mec fait partie du système. Je ne rajouterai pas qu’il est franc-maçon et que çà crée des liens avec tous les bords politiques de la loge. Ces infos ont été trouvé sur Wikipédia.

              Manuel Valls, né le 13 août 1962 à Barcelone (Catalogne, Espagne), est un homme politique français. Membre du Parti socialiste (PS), il a été élu maire d’Évry et député de la 1re circonscription de l’Essonne. Sommaire [masquer]

              Biographie

              Né dans une famille catalane[1] à Barcelone en 1962, Manuel Valls fait partie des rares hommes politiques français à avoir acquis la nationalité française par naturalisation (intervenue en 1982). Son grand père, républicain espagnol, cacha des membres du POUM (Parti ouvrier d’unification marxiste, antistalinien) et des anarchistes[2]. En 1980, à l’âge de 17 ans, il adhère au Parti socialiste pour soutenir Michel Rocard. Au sein du PS, il appartient à la deuxième gauche, celle de Rocard, pragmatique, contre celle de Mitterrand. Pendant ses études d’histoire à l’université Paris 1-Tolbiac, il entre au syndicat étudiant socialiste, l’UNEF-ID. Mais c’est surtout au sein des réseaux rocardiens que Manuel Valls va trouver sa place.

              Milieu culturel et formation

              Les Deux fermes, toile de Xavier Valls, 1973.

              Son père, Xavier Valls (1923-2006)[3], artiste peintre marié en 1958 à une enseignante tessinoise, Luisangela Galfetti, fille de l’architecte Aurelio Galfetti[4], s’installe à Paris en 1948 pour compléter sa formation[5]. Xavier Valls appartenait au courant de la jeune peinture de l’école de Paris avec notamment Bernard Buffet, Maurice Boitel, Pierre-Henry, Jean-Pierre Alaux, Françoise Gilot-Picasso. Manuel Valls suit des études d’histoire à l’université Paris 1[6] où il rejoint les réseaux de Michel Rocard dont il devient conseiller pour les affaires étudiantes en tant qu’animateur de l’UNEF-ID.

              Parfaitement bilingue français et catalan, et père divorcé de quatre enfants, il vit avec la violoniste Anne Gravoin, premier prix de violon et de musique de chambre du Conservatoire de Paris[7],[8],[9].

              Carrière politique

              Entre 1983 et 1986, attaché parlementaire de Robert Chapuis, député de l’Ardèche, il succède à Henri Kaminska en 1988 à la tête du PS d’Argenteuil-Bezons. Il est élu à 24 ans au conseil régional d’Ile-de-France, dont il devient 1er vice président. En 1991-1993, il est délégué adjoint interministériel aux Jeux olympiques d’hiver d’Albertville. Il devient secrétaire national du Parti socialiste à la communication, mais aussi premier secrétaire de la fédération du Val d’Oise, puis chargé de la communication et de la presse au cabinet de Lionel Jospin, Premier ministre de 1997 à 2002. Aux législatives de 1997, il avait échoué au premier tour à Argenteuil (Cinquième circonscription du Val-d’Oise).

              Il est élu maire d’Évry (Essonne) en mars 2001, puis député de la 1re circonscription de l’Essonne le 16 juin 2002, pour la XIIe législature (2002-2007). Il est réélu aux élections législatives de 2007 avec 60,12% des voix. Il se fait alors remarquer par ses appels à la refondation du PS et à un changement de nom. En 2007, il aurait refusé à Nicolas Sarkozy, alors nouveau président de la République, de faire partie de son gouvernement au titre de l’« ouverture », ce point n’ayant toutefois jamais été confirmé à droite. Il est réélu maire d’Evry en 2008 avec 70,28% des voix, mais moins d’un tiers des inscrits du fait d’un très faible taux de participation.

              Le 13 juin 2009, Manuel Valls annonce son intention de disputer les primaires du Parti Socialiste en vue des élections présidentielles de 2012[10].

              Franc-maçon au Grand Orient de France, il affirme ne plus être actif depuis longtemps[11],[12].

              Ses orientations en politique

              Il fait partie de l’« aile droite[1] » ou « blairiste[13] » du Parti socialiste, en particulier en raison de son insistance sur la sécurité, sur la responsabilité individuelle (à préciser) ou le « refus de l’assistanat[1] ». Il souhaite « concilier la gauche avec la pensée libérale »[14] et se déclare « clintonien[15] ».

              En 2002, il prend position contre un magasin Franprix de sa ville qui avait choisi de ne vendre que des produits hallal[16].

              En 2005, concernant le référendum sur la Constitution européenne, il défend le « non ». Mais après le référendum interne au PS du 1er décembre 2004, où le « oui » est sorti largement vainqueur à plus de 59 % des voix, il participe, par discipline, à la campagne du PS pour le « oui »[16]. Il vote avec d’autres élus de gauche « pour » la réforme du titre XV de la constitution permettant la ratification du Traité de Lisbonne (2007) lors du Congrès du Parlement français le 4 février 2008[17].

              Il plaide pour un allongement du nombre d’années de cotisation pour fixer l’âge du départ à la retraite et « l’alignement des régimes spéciaux [de retraite] sur le régime général[18]. »

              Dans Pour en finir avec le vieux socialisme... et être enfin de gauche, il dit « oui aux quotas » d’immigration, approuve l’allongement de la cotisation retraite à 41 ans à condition que l’on imagine un départ « à la carte », selon la pénibilité des carrières, et regrette les « fatwas anti-OGM » et anti-nucléaires[19].

              Lors de la succession de François Hollande en novembre 2008, il prendra fait et cause pour Ségolène Royal. Dans ses propos radicaux et peu habituels[réf. nécessaire] au Parti socialiste, il réclame l’arbitrage des tribunaux face aux suspicions de fraude électorale dans les bastions du Nord et de la Seine-Maritime favorables à Martine Aubry.

              Laïcité Cet article est évasif ou trop peu précis. Améliorez sa qualité à l’aide des conseils sur les sources !

              Dans La laïcité en face, il défend une refonte en profondeur de la loi de 1905 sur la séparation des Églises et de l’État, affirmant que « personne ne veut y toucher, mais elle est contournée en permanence ; chacun cherche un subterfuge pour arriver à ses fins. [...] Notre pays ne peut donc échapper à la révision même si ce n’est pas une révision avec un grand R. La loi a d’ailleurs été plusieurs fois modifiée depuis son adoption. La République pourrait s’offrir ainsi un moment symbolique pour donner un souffle nouveau à la laïcité. Il faut une révision publique de l’application de la laïcité qui passe par un débat parlementaire. Voilà un beau moyen de remettre l’idéal laïque au cœur de la société française et d’en faire une valeur partagée »[20].


              • 1 vote
                (---.---.121.6) 30 juin 2009 02:45

                putain mais c même plus une révolte en cours là... si ?


                • 5 votes
                  ffi (---.---.88.3) 30 juin 2009 18:23

                  Pour info, l’emprunt Giscard, en son temps, a levé 6 milliards de Francs. A l’échéance de son remboursement, il s’avéra que ce furent 88 milliards de Francs qui avaient été remboursés.

                  Lever un emprunt, c’est donner des revenus aux créanciers par l’intermédiaires des taux d’intérêts (dans le cas de l’emprunt Giscard, 82 milliards de Francs). Ce n’est pas l’intérêt général. C’est une solidarité à l’envers. Les fortunés, par l’entremise de Sarkozy vont hériter d’un bon pactole, au frais des contribuables. je suppose que celui-ci sera indexé sur l’inflation (au cas où celle-ci venait à s’accroitre).

                  L’intérêt général est que la république s’avance à elle-même les fonds - sans payer d’intérêt - et qu’elle les utilise pour créer des biens communs. En effet, pourquoi la république payerait-elle une dime aux clercs du système quand ceux-ci, dépositaires des clés de la gouvernance économique, se sont avérés incapables de maintenir la prospérité ?

                  Où sont les logements ? Où sont les emplois ? Où sont les biens communs ? C’est un Etat au petit soin pour les profits de quelques uns, mais qui ne fait pas grand chose pour le peuple.

                  Cet Etat ne vaut guère mieux que l’Etat Vichy. C’est donc un retour de la république qu’il faut souhaiter. Une république avec souveraineté monétaire, une politique économique, constituant des biens communs sous forme de services publics pour le peuple, lequel a été abusivement exploité et exproprié de ses créations par l’infâme pratique du contrat salarié.


                  • 4 votes
                    (---.---.151.98) 2 juillet 2009 06:21

                    Bravo ffi,

                    Voila bien l’ultime (et unique ?) finalite de cet emprunt. Il s’agit, en effet, d’assurer une rente aux creanciers de l’Etat, vu qu’en ce moment, crise aidant, les profits ne savent plus trop ou s’investir sans risque.

                    Ce n’est pas vraiment ce qu’on peut lire dans la presse, mais c’est la triste realite. On reporte tout sur les generations futures, y compris la charge des interets a payer a quelques rentiers qui ne savent plus ou mettre leur argent dans un systeme qui ne leur inspire plus confiance. Et ce sont ces memes profiteurs, qui ont jadis vide l’Etat de tout ce qui lui permettait de faire du profit, qui s’en remettent a lui pour leur payer des interets qui ne pourront provenir que de l’impot.

                    Il est pas beau le cynisme !!!


                  • 4 votes
                    Echo (---.---.151.98) 2 juillet 2009 06:31

                    Et j’ajoute que les emprunts d’Etat, a quelques exceptions pres, ont toujours servi a caser avantageusement les liquidites des petits et grands copains. Le plus difficile a toujours ete de trouver le bon pretexte pour faire passer la pillule aupres de ceux qui n’ont pas les moyens d’y souscrire.

                    Merci qui ?

                    Merci la crise.



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