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Conférence "fabrique des imposteurs"

Remarquable conférence... imposteurs dont nous sommes sans doute tous, hélas !

Remarquable conférence de 2015 sauf erreur, à l'université de Nantes, retrouvée par une nouvelle, équivalente et plus récente.

Cependant ses quasi 2 millions de vues, à la grande surprise de l'auteur, m'ont mis la puce à l'oreille.

Personnellement, j'y remarque, entre autres choses évidemment, les germes d'une nouvelle façon de concevoir la politique. Un nouveau paradigme ; une nouvelle façon, à l'avenir, qu'auront les assoiffés de justice et de liberté, de combattre efficacement.

Votre serviteur,                                                                          (qui vous invite à visionner sur YouTube pour les référencements, likes, etc.)




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8 réactions à cet article    


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    JL 24 mai 2023 18:35

    Excellente conférence.

     

    Vous dites : ’’imposteurs dont nous sommes sans doute tous, hélas !’’

    >

    Non : à un moment donné le conférencier dit : « Le conformiste et l’imposteur sont cousins. »

    L’imposteur répond à ce que le conformiste attend.


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      nono le simplet nono le simplet 24 mai 2023 19:15

      @JL
      ne pouvant intervenir sur ago rouge je le fais ici sur ton com

      Francis, agnotologue 23 mai 10:53

      @Eric F
       
      Les atomes existent parce que la matière existe. Les virus existent parce que les produits qui sont réputés les combattre se vendent bien.

      et du coup les bœufs existent parce que la charrue existe ? le pétrole existe parce que les moteurs à explosion existent ? smiley


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      JL 25 mai 2023 08:50

      @nono le simplet
       
       amusant ce hors contexte.Mais pas dénué d’intérêt, et je relève le défi :
       
      Les virus n’existent que pour la seule cause que les produits qui sont réputés les combattre se vendent bien. Autrement dit, les virus ne relèvent pas de la contingence mais d’une invention.
      Les bœufs qui tirent des charrues existent parce que la charrue existe

       : pas de charrue (ou assimilé) pas de bœufs qui les tirent. C’est la fonction des bœufs qui est née d’une invention.
      Si les moteurs à explosion n’existaient pas (ni ses autres usages), le pétrole serait une boue qu’on laisserait au fin fond des puits.


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      nono le simplet nono le simplet 25 mai 2023 09:36

      @JL
      lol
      pour les virus ça reste une excellente démonstration ... les vaccins n’existant que depuis peu dans l’échelle de temps humaine tu considères qu’ils n’existaient pas avant leur "invention" (terme accepté puisque ce genre de découverte est assimilé à une invention comme pour la découverte d’un trésor et le "découvreur" en est l’inventeur )
      et pour les atomes ?
      tu fais passer la charrue avant les bœufs smiley


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      nono le simplet nono le simplet 25 mai 2023 09:49

      @JL
      et sans l’invention du moteur à explosion les bœufs continueraient à tirer les charrues smiley


    • vote
      JL 25 mai 2023 10:02

      @nono le simplet
       
       ’’ (Les virus) n’existaient pas avant leur "invention (découverte)"

      >
      Flaubert aussi, qui jouait sur les mots a écrit : « Tout ce qu’on invente est vrai  »
      Y compris donc ce qui ne préexistait pas avant.
      Un point partout, la balle au centre.
      Il vous reste donc à démontrer que les virus ne sont pas que des artefacts de laboratoire.


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      nono le simplet nono le simplet 25 mai 2023 10:34

      @JL
      t’en es un bel artéfact, l’agnotologue ! smiley


    • vote
      Étirév 25 mai 2023 07:51

      La fabrication des imposteurs ne doit pas faire oublier le principal : la fabrication du consentement.
      Dans Public Opinion (1922), Walter Lippmann étudie la manipulation de l’opinion publique. Selon lui, pour « mener à bien une propagande, il doit y avoir une barrière entre le public et les évènements ». Il décrit alors l’avenir qu’il entrevoit. Il conclut que la démocratie a vu la naissance d’une nouvelle forme de propagande, basée sur les recherches en psychologie associées aux moyens de communications modernes. Cette propagande implique une nouvelle pratique de la démocratie. Il utilise alors l’expression « manufacture of consent » qui signifie littéralement la « fabrique du consentement ».
      Aussi, les médias de masses, souvent subventionnés (stipendiés pourrait-on dire), tels la presse écrite, la TV, radio, cinéma, jeux vidéo, publicité, affichage urbain, sites web, « Wiki », etc., aident grandement à la manœuvre en diffusant des mensonges et des hypocrisies à des doses tellement fortes et tellement fréquentes, que la majorité de la population n’est finalement plus à même de réagir, si ce n’est dans la direction voulue par ceux qui gèrent ses choix.
      Dans « Media Control : The Spectacular Achievements of Propaganda », Noam Chomsky, à propos du « suffrage universel », explique que dans la société démocratique les citoyens sont divisés en deux grandes classes : l’étroite classe spécialisée (appelée Superclasse mondiale ou Hyperclasse), celle à qui revient la gestion des affaires générales, et les autres, c’est-à-dire la grande majorité de la population, que Walter Lippmann désignait par l’expression de « troupeau sauvage ». Noam Chomsky souligne que le « troupeau » n’est consulté qu’en période électorale pour entretenir chez les « moutons » l’impression de vivre en démocratie et non pas dans un état totalitaire. Une fois que la classe spécialisée est élue, le « troupeau » redevient spectateur, et même, il reste stupide, obéissant et passif, et on le traite à nouveau comme un gamin de trois ans, irresponsable par définition et incapable de connaître ce qui est bon pour lui.
      Ci-après, les sept premières phases (sur 12) du processus « standard », des actions des globalistes pour prendre le contrôle des zones géographique « instables », c’est-à-dire ne répondant pas aux critères imposés par le Nouvel Ordre Mondial :
      01. On arme les camps opposées (désaccords d’intérêts, ethniques ou religieux) et on attise les rivalités ;
      02. Les populations, effrayées par des actes terroristes, fuient vers les villes dans l’espoir d’une meilleure protection. La faim et la misère se développent ;
      03. Les médias de masses commencent leur propagande et diffusent les images des atrocités dans le monde entier ;
      04. Dans les pays développés on recueille des aides médicales et alimentaires à envoyer dans les zones de crise ;
      05. Les O.N.G. n’aidant qu’une seule des parties opposées, sont militairement attaquées par l’autre. C’est à ce moment que commence l’intervention des Nations Unies ;
      06. Sous les motifs les plus divers, les « forces de la paix » envoyées par l’ONU se retrouvent au milieu de tirs croisés et sollicitent des renforts ;
      07. La « fabrication du consentement » opérée par le battage médiatique ayant fait son œuvre, les opinions publiques des différents pays sont convaincues de contribuer à l’effort « pour la paix » en envoyant des renforts (troupes et matériel)
      Extrait du célèbre Discours de la servitude volontaire d’Etienne de La Boétie : Les gouvernants ont plutôt tendance à se distinguer par leur impéritie (c’est-à-dire par leur incompétence dans la profession ou plus souvent dans la fonction qu’ils exercent). C’est le peuple qui s’asservit, qui se coupe la gorge, qui, ayant le choix ou d’être serf ou d’être libre, quitte la franchise et prend le joug, qui consent à son mal. Plus que la peur de la sanction, c’est d’abord l’habitude qu’a le peuple de la servitude qui explique que la domination du maître perdure. Ensuite viennent la religion et les superstitions. Mais ces deux moyens ne permettent de dominer que les ignorants. Vient le « secret de toute domination » : faire participer les dominés à leur domination. Les théâtres, les jeux, les farces, les spectacles, les gladiateurs, les bêtes curieuses, les médailles, les tableaux et autres drogues de cette espèce étaient pour les anciens peuples les appâts de la servitude, la compensation de leur liberté ravie, les instruments de la tyrannie.
      Ce cours extrait d’E. de La Boétie rappelle les conditions d’obtention du certificat de conformité et de docilité appelé en novlangue « pass sanitaire », qui ouvrait les portes d’un « paradis » mirifique, fait de cafés et de restaurants, cinémas, discothèques, piscines et parcs d’attractions, etc. lors de la période covidique pas encore tout à fait terminée.
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