Ces jeunes vivent dans des conditions de précarité extrême

Ils arrêtaient pas de parler d’inclusion aux JO mais la voila l’inclusion. On est jeune, sérieux, avec des diplômes et il faut rester chez ses parents quand on peut sinon c’est la rue... à moins de faire des enfants ce qui est le comble quand même (faire des enfants quand on ne trouve aucun emploi : une société qui aide en priorité les inconscients).

Facile si on est droitardé, ce sont tous des faignants, ils n’ont qu’à faire serveur. Il y aura 2 catégories de personnes à l’avenir, ceux qui iront au restaurant et ceux qui les serviront. Le travail utile pour soi (nourriture, logement) n’emploiera qu’une extrême minorité de travailleurs mais le but n’est pas de partager ce travail utile pour que chacun assume ses besoins. Non, le but est de libérer un maximum de main d’œuvre pour les faire travailler au rabais (en concurrence avec le chômage) pour des besoins qu’ils n’ont pas et tant pis si leur propres besoins élémentaires ne sont même plus correctement assurés (nourriture de plus en plus infâme et voiture pour logement). Notre société est à l’antipode de la liberté et de l’inclusion. C’est une société de soumission extrême où la plupart des pauvres ne se rendent même plus compte qu’ils travaillent pour une extrême minorité de psychopathes.

Le pire, c’est qu’ils sont jeunes et qu’ils croient aux études. Non, la société ne vous demande qu’une seule chose, c’est de vous prostituer, dans tous les sens du terme. J’ai déjà eu cette jeunesse il y a presque 30 ans maintenant, avec un diplôme d’ingénieur, pas d’emploi non plus. Vive la France ! Une machine à broyer...