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Clément Viktorovitch vs Ivan Rioufol et Charlotte d’Ornellas : Débat très tendu sur le communautarisme islamique à l’école

Débat chaud bouillant sur le communautarisme islamique à l'école, présenté par Laurence Ferrari (CNEWS, 11 octobre 2018), avec :

- Ivan Rioufol (Journaliste au Figaro)

- Charlotte d'Ornellas (Journaliste à Valeurs Actuelles)

- Clément Viktorovitch (Docteur en Science Politique)

- Jean-Claude Dassier (Editorialiste politique à CNEWS)

- Igor Zamichiei (Secrétaire départemental Communiste)

- Brigitte Boucher (Journaliste LCP)

Les débatteurs reviennent sur la fuite d'une note des services de renseignement sur les dérives communautaristes à l'école. Clément Viktorovitch se montre outré que l'islam seul soit ciblé et que le rapport n'intègre pas en son sein les dérives de l'intégrisme juif ou catholique. Le jeune politologue se montre particulièrement choqué lorsque Charlotte d'Ornellas tisse un lien entre le refus de certains enfants musulmans de rentrer dans une salle de classe où figure du mobilier de couleur rouge (en invoquant un interdit du Coran) et le passage à l'acte terroriste. Clément Viktorovitch dénonce la stigmatisation dont sont victimes ces enfants et leurs parents. Quant au représentant du Parti communiste, il nous met en garde contre le choc des civilisations et appelle au "dialogue des cultures".

Extrait :

Tags : Education Islam Enseignement Discriminations Islamisme Communautarisme




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5 réactions à cet article    


  • 3 votes
    ezechiel ezechiel 13 octobre 2018 14:46

    Vous voulez réellement connaître la vérité sur l’Islam ?
    Alors regardez et écoutez les prédicateurs et imams dans les plus grandes mosquées de France endoctriner des centaines de milliers de musulmans au fondamentalisme islamique misogyne, antieuropéen, antichrétien et antisémite :
    http://islamineurope.unblog.fr/
    https://vimeo.com/user75660018


    • 2 votes
      Pierre_Fumier 13 octobre 2018 20:50

      Ah ? Ok... si le petit jeune bisounours sur le plateau pouvait éviter de nous gonfler, et nous faire perdre du temps, avec ses histoires de "méthodologie", on pourrait se concentrer sur la question qui a rapport à l’Islam en France. C’est peut-être anecdotique du reste, je n’en sais rien. Enfin "j’imagine" tout de même que si la DGSI relève ce genre d’informations, c’est qu’il ne s’agit pas de cas isolés.


      • vote
        Toutatis 14 octobre 2018 09:23

        L’argumentation de Viktorovitch est particulièrement idiote. Si on le suit bien, si on fait à la suite des attentats des enquètes dans les milieux islamiques, on devrait simultanément en faire aussi dans les milieux protestants, catholiques, juifs et bouddhistes. Si on met par exemple des indicateurs dans les mosquées pour détecter les prèches extrémistes, il en faudra aussi dans toutes les églises. Va falloir embaucher du personnel....


        • vote
          Gilbert Spagnolo dit P@py Gilbert Spagnolo dit P@py 17 octobre 2018 19:48

          @Toutatis

          Attitude type du « Munichois » !

          @+ P@py


        • vote
          Tartine 16 octobre 2018 20:52

          La laïcité en droit français tient en trois points : neutralité de l’État (aucune position religieuse ou spirituelle), égalité des citoyens (pas de discrimination) et liberté de conscience (croire ou ne pas croire). Il s’agit d’une conception libérale, issue du siècle des Lumières, liée à une anthropologie et une philosophie, où la loi n’a d’autres normes que la volonté du peuple (démocratie) au service de la liberté. Aussi, les institutions religieuses -qui affirment porter la volonté divine- sont-elles exclues de l’activité législatrice, car elles tendent à imposer des limites à la volonté du peuple.

          C’est le décret du 3 ventôse an III (21 février 1795) qui établit un régime de séparation des Eglises et de l’Etat, complété par les lois organiques décrétées par Bonaparte en 1803 qui réglementent en France l’exercice des cultes catholique, luthérien et réformé (les juifs, reconnus comme citoyens de la République depuis 1791, conviendront de la subsidiarité religieuse aux lois de la République en adhérant pleinement à l’injonction même du Talmud :" la loi du Royaume est ma Loi"). Les lois successives au XIXe (dont la loi Ferry de 1882 sur l’Ecole laïque) conduisent à la fameuse Loi de 1905. 

          Or, on oublie souvent que l’Islam n’est pas seulement une religion mais aussi un système politique, régi par les lois de la Charia. Il n’existe pas de séparation entre politique et religieux ("religion de la loi") ni entre politique et vie privée (les règles du musulman sont en même temps pénales et morales). Si, contrairement aux autres religions l’Islam a toujours refusé de signer un Concordat de subsidiarité avec l’Etat français, aucune religion ne peut aujourd’hui prétendre à un statut privilégié en droit. En d’autres termes, les principes de droit religieux ne sauraient se placer au-dessus du droit positif de la France. 

          Les problèmes subsisteront aussi longtemps que ce malentendu ne sera pas dissipé.  




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