On ferait mieux de parler de l’héritage honteusement caché de mai 68 : la pédophilie.
A lire, avec une bassine à vos côté, pour vomir :
http://www.denistouret.net/textes/Cohn-Bendit.html
Extraits : ""Je faisais un cunnilingus à une amie. Sa fille, âgée de cinq ans, paraissait dormir dans son petit lit mitoyen. Quand j’ai eu fini, la petite s’est placée sur le dos en écartant les cuisses et, très sérieusement, me dit "à mon tour, maintenant". Elle était adorable. Nos rapports se sont poursuivis pendant trois ans. » C’est un homme qui parle. Il s’appelle Benoît. Son interview, titrée « câlins enfantins », est précédée d’une phrase du journaliste : « Quand Benoît parle des enfants, ses yeux sombres de pâtre grec s’embrasent de tendresse. » C’est terrible, illisible, glaçant. Et publié dans Libération le 20 juin 1981."..."« Elle gazouille quand elle éprouve du plaisir », écrit encore Benoît le malade, racontant la petite fille de cinq ans. Et il aura fallu du temps, tout ce temps, pour que le gazouillement ou le silence des enfants souillés se transforment en mots. Puis en colère. En accusation, enfin. Et que les voix d’adultes prétendant que l’enfant trouve du plaisir à ces jeux soient recouvertes par les voix d’enfants qui disent que tout cela n’est que souffrance.
"Pétitions.
En janvier 1977, trois hommes comparaissent devant la cour d’assises de Versailles pour « attentats à la pudeur sans violence sur mineurs de moins de 15 ans ». Leurs trois années de détention préventive déclenchent une pétition relayée par Libération. Le texte ne laisse aucune place à l’ambiguïté. Une fois encore, il affirme que les enfants n’ont subi « aucune violence », qu’ils étaient « consentants ». « Si une fille de 13 ans a droit à la pilule, c’est pour quoi faire ? », demande la pétition. Le texte estime qu’il n’y a pas « crime » et que « trois ans pour des baisers et des caresses, ça suffit ». Qui signe ? Aragon, Bernard Kouchner, André Glucksmann, François Chatelet, Jack Lang et bien d’autres encore, de Félix Guattari à Patrice Chéreau ou Daniel Guérin. Un peu plus tard, une lettre ouverte à la commission de révision du code pénal exigeait que soient « abrogés ou profondément modifiés » les articles de loi concernant « le détournement de mineur », dans le sens « d’une reconnaissance du droit de l’enfant et de l’adolescent à entretenir des relations avec les personnes de son choix ». Qui signe ? Jean-Paul Sartre, Michel Foucault, Roland Barthes, Simone de Beauvoir, Alain Robbe-Grillet, Françoise Dolto, Jacques Derrida."
Allez, lisez, et vous verrez beaucoup de ces partisans de la liberté sous un autre angle...