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Fusion Man, le retour

Je vous parlais déjà hier de ce "fou volant" qui s’était lancé pour défi de survoler la Manche, muni d’ailes en carbone. La traversée fantastique d’Yves Rossy, reportée à cause de la brume, a finalement eu lieu aujourd’hui.

Les toutes premières images de cet exploit.


Images France 3




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4 réactions à cet article    


  • 4 votes
    Arnaud (---.---.119.211) 26 septembre 2008 16:16

    Bravo monsieur Rossy


    • 3 votes
      lulux (---.---.55.121) 26 septembre 2008 21:16

      C’est les militaires qui vont être contents !


      • 1 vote
        halman (---.---.175.101) 27 septembre 2008 11:08

        Il n’a même pas décollé par ses propres moyens. Largué d’un Pilatus.

        Il a du inventer un système pour déployer ses ailes en vol.

        Il avait besoin de quelqu’un pour allumer ses réacteurs.

        Il n’avait aucun contrôle sur ses réacteurs.

        Il n’a même pas atterri par ses propres moyens. En pébroque.

        Il avait besoin d’avions et d’hélicos pour faire sa navigation alors qu’on voyait les falaises dès son largage.

        Il a utilisé une aile totalement foireuse qui décrochait sans prévenir et qui n’avait que 20 km/h de domaine de vol. (A 180 elle décroche brutalement et à 200 elle est instable, même une aile de drone est nettement plus performante.) J’ai vu le profil de l’aile pendant le reportage, c’est une calamité épouvantable. Même à 200 km/h il est obligé d’utiliser les grands angles d’incidence pour avoir de la portance tellement elle est ultra nulle.

        Il savait depuis la conception que son aile était instable et dangereuse mais il le fait quand même.

        Ca fout la panique pour un pilote de ligne non ? Lundi son A320 il sera en meilleur état j’espère !

        Sa manière de contrôler le vol par des mouvements de la tête et des épaules qui influent sur les flux de l’air en avant de l’aile, mais c’est du grand n’importe quoi hyper dangereux et des plus aléatoires. Le moindre filet d’air mal contrôlé et hop, il se glisse entre l’extrados et la couche limite, provoquant une magnifique vrille.

        Cette méthode étaient utilisée sur certains des premiers ulm, vite abandonnée.

        J’ai remarqué ça, souvent les pilotes de ligne ça leur prend, arrivés à un certain âge ils ont des lubies bizarres de vouloir réinventer la roue (l’aile) avec des technologies "nouvelles" qui existent depuis les années 1960 ou de tout chambouler dans leur métier.

        Blériot lui avait un meilleur avion, un profil d’aile correct, il a décollé et atterri par ses propres moyens.

        En planeur on fait des traversées de la Manche et on ameute pas les journalistes.

        Et les amateurs de spectaculaire applaudissent, incapables de faire la différence entre un vol digne de ce nom et du grand n’importe quoi.


        • vote
          (---.---.136.215) 13 octobre 2008 19:58

          le fait que l’on ai aucune image digne de ce nom de l’icarus durant le vol est interpellant . la caméra du-dit icarus n’a pas fonctionné au bon moment également , seules des images de parachute sont visibles .

          c’est un fake .



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