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« Il est prétentieux de croire que l’Homme peut contrôler le climat »

Dans un nouvel ouvrage, l’auteure québécoise Joanne Marcotte présente les recherches de scientifiques renommés allant à l’encontre de l’imaginaire apocalyptique de l’écologisme. Elle dénonce les conséquences sur la santé mentale d’une vision aussi pessimiste.

Tags : Livres - Littérature Ecologie Philosophie Science et techno Climat




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5 réactions à cet article    


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    Étirév 15 décembre 2023 12:57

    Le saviez-vous ? :

    Le « Climarnaque » a été mise en place pour financer la future monnaie numérique mondiale qui sera entièrement contrôlée par les élites bancaires globalistes.
    Explication  : Le FEM, « validé » par le biais des Nations Unies en 1992, grâce à la cooptation des hauts fonctionnaires ministériels de 179 pays (merci le « lobbying »), lors de la conférence sur l’environnement et le développement, plus connue sous le nom de « Sommet de Rio », est une organisation financière indépendante gérant le système de financement destiné, soi-disant, à mener des actions pour la préservation de l’environnement, dans le cadre du « développement durable ». Il accorde, entre autres, des subsides au projet lié à la lutte contre les effets du pseudo réchauffement climatique. « Pseudo », en effet, car il est avéré que la température, plus élevée dans les temps anciens, s’abaisse graduellement ; le mensonge du « réchauffement climatique » est destiné, en partie, à faire croire que les « élites » actuelles et leurs scientifiques dits « sérieux » peuvent apporter tous les progrès, même ceux du climat.
    Précisons que, à l’origine, le FEM est issu du « 4ème Congrès Mondial des Terres Sauvages » (4th World Wilderness Congress) organisé en 1987 par la Banque Rothschild, et le Baron Edmond de Rothschild lui-même. Quelque 1 500 banquiers et dirigeants parmi les plus puissants du monde ont assisté à ce congrès qui était présidé par l’homme politique, membre de la haute finance canadienne et agent de « N. M. Rothschild & Sons » à Londres, Maurice Strong (1929-2015). Co-fondateur du WWF, ancien Secrétaire général de la Conférence des Nations unies sur l’environnement et co-directeur de l’Aspen Institute, Maurice Strong était aussi membre fondateur du GIEC (créé en 1988) et de l’« Earth Council », dont il deviendra le Directeur. Créé en 1992, au Costa Rica, pour coordonner la réalisation des programmes de l’« Agenda 21 », l’« Earth Council » a aussi comme membre fondateur Klaus Schwab, accessoirement « Monsieur Great Reset », mais surtout fondateur et actuel président du « World Economic Forum », les Symposiums annuels qui depuis 1971 réunissent à Davos, en Suisse, les hommes du « Big Business ».
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      perlseb 15 décembre 2023 20:00

      Entièrement d’accord avec sa dernière phrase. Il est fantaisiste de demander à des pauvres de faire des "efforts" pour la planète. Quand on ne mange pas à sa faim, on se moque de savoir si ce qu’on a dans son ventre est une espèce protégée.

      Même si effectivement on ne connaît rien au climat (trop complexe) et que le réchauffement en cours est peut-être plus lié à des cycles solaires ou à de très légers changements d’orientation de la terre qu’à une augmentation du C02 dans l’atmosphère, il faut malheureusement dire qu’avec 8 milliards d’humains, il n’est pas impossible que l’homme ait une influence sur le climat et sur la Terre en général. Par exemple, si le trou de la couche d’ozone s’est effectivement résorbé grâce à l’arrêt de l’utilisation des CFC (peut-être une coïncidence mais peut-être pas), on devrait arrêter de produire sans arrêt des nouvelles molécules qui font "gagner de l’argent" à court terme et à peu de monde en fin de compte, alors qu’on ne sait rien de l’effet de ces nouvelles molécules produites à grande échelle sur notre écosystème.

      Dans l’ensemble, on fait n’importe quoi mais personne à la base n’est demandeur : seuls les industriels changent leurs procédés pour gagner plus d’argent (avec un produit qui remplace l’autre au même prix mais qui est moins cher à fabriquer : plus gros bénéfice) et les consommateurs se retrouvent pollueurs malgré eux. En gros, tant qu’on est dans un système capitaliste, alors ceux qui gagnent le plus d’argent le font rarement en prenant le plus de précautions possibles car les précautions, ça coûte, ça entrave les bénéfices. Seule manière de ne pas polluer dans un système capitaliste : produire un mille-feuille de lois contraignantes (forcément locales à des pays pseudo-responsables) qui vont encourager les délocalisations (vers des pays pauvres à qui on ne peut rien imposer en terme de contraintes écologiques) et ces lois seront donc totalement improductives (sauf si leur vrai but est de casser les acquis sociaux des pays "riches"). Donc il n’y a pas de solution tant que tous les pays ne sont pas au même niveau : autant dire qu’il n’y aura jamais de solution avec un tel système, sauf si on interdit le libre-échange et la libre-circulation des capitaux (seule manière d’écrire des lois qui ont une chance d’être appliquée). On ne s’y dirige pas vraiment...

      L’homme n’a jamais autant pollué qu’aujourd’hui et on ne fait strictement rien dans le fond pour arrêter cela même si on n’a jamais autant parlé d’écologie.


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        LUCA LUCA 16 décembre 2023 09:00

        Mon point de vue est que le pouvoir technocratique organise la performance des pays opulents par des actions peu scrupuleuses, l’humanisme repassera, tout ce qui compte pour le moment c’est l’élimination progressive et chronologique de ceux qui coûtent un pognon de dingue, des non productifs puis des non performants.

        Donc, l’exagération autour du réchauffement climatique est volontairement organisée par les plus hauts sommets mondiaux écono-écolo, après l’injection pour tous c’est le suppositoire d’une décroissance² occidentale qui devrait rééquilibrer la flore mondiale. En bref, c’est le principe des vases communicants destinés à remplir un puits sans fond.


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          yoananda2 16 décembre 2023 11:52

          l’homme ne contrôle pas plus le climat que son mental, il le dérègle, comme son mental, et c’est suffisant.

          les incertitudes c’est pour l’avenir, le présent est déjà réchauffé. On ne sait pas quelle région du monde va chauffer le plus, ni les conséquences exactes, mais on sait de combien, globalement, ça va se réchauffer si on continue (aux boucles de rétroaction positives près).

          est-ce qu’il faut paniquer ?

          non, parce qu’on va apprendre à contrôler le climat justement. sauf si on ne le fait pas


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            Gaspard Delanuit Gaspard Delanuit 17 décembre 2023 19:46

            @yoananda2

            "on va apprendre à contrôler le climat"

            Pour le moment, "on" est juste capable de faire des prédictions météorologiques à peu près fiables sur 2 ou 3 jours. Alors, en attendant de pouvoir "contrôler" le "climat", on se contente d’essayer de contrôler les croyances climatiques. 



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