Ah, les phénomènes séculaires, c’est curieux, on en trouve partout désormais chez les climato-sceptiques.
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Pendant ce temps, l’arctique fond et cela va être au bénéfice des multinationales qui prospectent le pétrole. On comprend tout de suite mieux les positions comme celle du géologue Claude Allègre, métier souvent dédié à cette même prospection.
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Quant aux "bobos qui dénoncent la surconsommation" mais "ont un ordinateur, un téléphone portable", eh bien, fort heureusement ! Croyez-vous qu’ils se feraient entendre sinon, réfugiés dans des grottes sans les moindres moyens de communication ? Croyez-vous qu’il est possible de vivre et d’être respecté dans notre société moderne sans ces joujous ?
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J’ajouterai que les ordinateurs et téléphones portables sont parfois bien utiles à l’environnement, et que cela n’empêche pas de lutter pour qu’ils soient construits de manière respectueuse et pour les humains qui les fabriquent, et pour l’environnement.
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Sinon, j’aimerai bien connaître l’empreinte carbone Erwanet, qui arrive à poster des vidéos quasiment tous les jours alors qu’il devrait être à la pêche !?
Si Cohen représente bien, lui, le cerveau malade de quelqu’un voulant diriger la pensée des autres, Alessandra Sublet, elle, est tout bonnement insupportable à vouloir constamment donner son avis sur tout sans rien apporter en réflexion.
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Ce genre d’émission est absolument pitoyable. Heureusement que Mr Taddei est là pour relever le niveau.
C’est absolument ça le problème. Et l’on renfloue les banques, l’Etat, comme au Japon, paye les catastrophes des uns avec les deniers du peuple.
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Et Erwanet, lui, défend ceux qui provoquent les catastrophes, pour ensuite nous dire qu’il ne faut pas payer d’impôts... Mais qui alors aidera ses amis de la finance en cas de coup dur !?
Une précision tout de même : le commentateur parle au début du tsunami en disant qu’il a dévasté le sud-est du Japon. Or la préfecture de Sendai est plutôt à l’est/nord-est.
Si la faiblesse est la cause des causes, il y a 3 manières de l’aborder : .
On essaie de la corriger, de l’éliminer. C’est, à mon humble avis, la meilleure méthode, que ce soit pour soi-même de prime abord, ou pour les autres une fois que l’on connaît l’antidote.
On la laisse en place, par fainéantise, et l’on devient son objet à chaque fois qu’elle s’exprime. C’est déjà une attitude bien plus dangereuse, pour soi comme pour les autres ;
On la cultive chez les autres pour en tirer parti. C’est ce que font nos amis financiers, publicitaires ou autres rois du neuromarketing. Et c’est là, à mon avis, la pire des attitudes, celle qui génère dans notre société moderne un torrent de souffrance.
. C’est un peu comme ces gens qui, connaissant la faiblesse des chiens ou des coqs organisent des combats à mort, ou ceux qui affrontent les taureaux en jouant sur leur instinct.