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La Russie commence à prendre une avance considérable sur l’occident en matière aéronautique, que ce soit déjà pour le MIG31BM qui surpasse déjà les chasseurs occidentaux et encore plus par le MIG41 si aucun souci ne vient troubler son développement, comme pour les drones tel le Grom-U, UCAV mais bien plus, capable de superviser un essaim constitué de drones Molniya (drones kamikazes).
Les caractéristiques de ce nouveau MIG interroge cependant non pas sur les capacités techniques de l’avion lui-même mais plus sur les capacités d’un pilote à supporter les charges imposées par les performances de l’avion.
Sur le sujet du MIG41
je recommande la lecture de cet article paru dans une revue militaire suisse.
@Eric_F
Mais je reste en accord avec votre propos, je ne me sens en capacité que d’émettre des critiques sur les pays que je connais bien, je ne donnerais pas de leçons aux autres pays qui vivent leur évolution sociétale indépendamment de la nôtre.
Bien sûr qu’il existe des pratiques que je qualifierais de plaisante pour ne pas dire confortable dans nos pays. Mais je reste critique envers notre propre mode de vie qui s’est construit au détriment d’autres pays, pas tout mais une bonne partie ; qui plus est avec une posture de donneur de leçons qui m’exaspère toujours.
La seule et unique chose que nous pouvons faire pour faire bouger les choses c’est d’agir dans nos propres sociétés ; critiquer les autres n’est pas très constructif puisque nous ne les ferons pas changer de l’extérieur. Il revient à chaque population de s’émanciper dans sa propre société, nous pouvons aider mais pas intervenir directement, comme il ne nous revient pas de juger les autres à l’aune de nos pratiques ; poser le postulat que nos pratiques sont mieux que celles d’autrui c’est une forme de suprémacisme.
@Eric_F
Je comprends bien mais le doute consiste juste à ne pas accepter le discours tel qu’il arrive mais le confronter aux réalités tangibles vécus ou déduite de la personne concernée, en fonction aussi de ces valeurs.
Hannah Arendt a été une de mes références dans beaucoup de secteurs de la vie, vie personnelle, vie professionnelle, vie institutionnelle.
J’ai parfois rencontré des cadres dirigeants tenant le discours "on ne mord pas la main qui nous nourrit". Drôle d’approche des relations hiérarchiques qui tendent à ne jamais s’opposer à un ordre ou une directive fixée par la hiérarchie. Or, il arrive parfois qu’il soit nécessaire de s’y opposer lorsque nos valeurs ne s’accommodent pas avec ce qui nous est demandé.
Avec de telles positions, on finit par ne plus avoir de valeur, ce que nous retrouvons dans la real politique de nos démocraties.
Je ne pars jamais du principe que le monde est manichéen, le doute ne peut être une position d’opposition, il peut y conduire mais ne l’est pas au préalable d’une réflexion. Un autre point important, la responsabilité nous permet après réflexion à juger mais il s’avère aujourd’hui que les gens jugent souvent sans savoir, ni réfléchir. Nous sommes déjà de plein pied dans certaines caractéristiques d’un totalitarisme.
Par exemple, le discours bien pensant d’aujourd’hui est une forme de totalitarisme, ce qu’est aussi le terrorisme de la vertu que portent haut et fort les pays occidentaux (vertu qu’ils n’ont pas eux-mêmes).
Bonjour,
La banalité du mal l’a aussi poussée à faire des conférences et a débouché sur un ouvrage que j’ai trouvé très intéressant à la lecture : Responsabilité et Jugement
Ce que préconise en fait Hannah Arendt c’est d’être autonome dans sa pensée pour éviter toute manipulation extérieure. L’autonomie a un prix, il faut toujours douter (un doute méthodique en quelque sorte) qui permette de confronter l’engagement que l’on nous demande d’avoir au regard de notre propre approche des évènements avec nos valeurs individuels.
Cette réflexion qu’elle a proposé vient directement du procès de Eichmann qu’elle a suivi ; constatant qu’un être tout à fait banal peut-être un rouage essentiel dans un acte que toute morale normale aurait rejeté. De mémoire, Eichmann n’était qu’un organisateur de transports, un responsable de l’équivalent de notre SNCF qui a affrété les trains de la mort.
Je conviens que la période COVID a posé des problème tendancieux tirant vers le totalitarisme (l’usage de la violence peut prendre plusieurs formes) mais je m’inquiète bien plus de la vague de fond, celle de l’inculture érigée comme constituant primordial des sociétés modernes.
Enfin de vous lire me rassure sur le fait qu’ils n’ont pas encore atteint tout le monde )
@pemile
Mais toi tu es les deux et moi ni l’un ni l’autre !
Toi tu parles de sujets que tu ne connais absolument pas et en plus tu oses juger les autres à l’aune de tes multiples incompétences. C’est risible pauvre clown !
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