J’ai (hélas) l’âge d’avoir connu "trois jours plus tard le canard était toujours vivant", "Viens à la maison" éveille aussi un souvenir en moi, mais cet "Eloge de la paresse" m’était inconnu. dans la tradition des chansonniers qui savaient être critiques, sarcastiques, mais aussi plus sérieux, voire tendres et - comme le remarque Lemouton - parlaient bien...
Après quelques jours sur Rue 89, j’ai capitulé devant l’amoncellement d’injures et l’incapacité des "riverains" à débattre d’une façon civilisée. J’arrive sur "Agora", je poste quelques réactions et voici que je découvre ce sujet et les commentaires outranciers et grossiers qu’il suscite. est-il impossible de se parler -au moins - poliment ? Pas un argument, rien que des invectives. C’est décourageant !
Je viens de cliquer sur les trois réactions précédentes avec un peu de peine : Pourquoi la moindre frasque d’un politique suscite-t-elle des dizaines de réactions alors que la disparition d’un comédien de talent n’émeut pratiquement personne ? Vous avez raison tous les trois, c’était un très grand.
PS : Sans rapport avec ce qui précède, je suggère à ceux qui ont découvert Simenon grâce à Cremer de lire ses premiers romans, avant l’invention de Maigret. C’est un sacré voyage, au propre comme au figuré !
Je connaissais Denis Robert depuis longtemps, mais je découvre une facette nouvelle et fabuleuse de ce Personnage de l’information. Pourvu que l’on n’aille pas imaginer qu’il est simplement un chanteur rap ! Magnifique témoignage, je voudrais avoir la moitié de son opiniâtreté...