QU’EST CE QUE VOUS ATTENDEZ DE PISSER AU CUL DE L’AGENCE MOODY ! ! ! !
tant que ces chapelles ,privées corrompues , étrangères ,mondialistes ont votre caution tout est perdu. Le problème est pas l’euro ,mais l’ UE . La France a tout à perdre à continuer ce jeu. Ce qui me décoit c’est que mr Dupont-Aignan croit que l’europe est réparable . Non ! c’est une escroquerie initiée par le fromac tordu et viscelard de mitterand. De Gaulle doit être bien triste de voir cette déchéance faite par des imbéciles , des voleurs , et des incompétants.
il parle de déficit , qui a lié le pays avec l’artilce 104 de Masstricht ? qui a retiré le pouvoir régalien à l’état . Ce qui marchait en 1945 dans un pays défait ne marche plus 60 après avec une technologie 100 x plus forte. ?
"Le traité de Maëstricht fait la quasi-unanimité de la classe politique. Les hommes politiques que nous avons élus sont tout de même mieux avertis que le commun des mortels !", Elisabeth Badinter, septembre 92.
"Le traité de Maëstricht est le premier traité européen qui comporte un grand volet social", Michel Rocard, septembre 92.
"Pour la France, la monnaie unique, c’est la voie royale pour lutter contre le chômage", Michel Sapin, septembre 92.
"Il faut savoir que les pays ne peuvent plus faire ce qu’ils veulent", Pedro Solbes, alors Commissaire européen, origine espagnole, février 2001.
"En oeuvrant de concert, l’UE et les EU peuvent constituer une formidable force au service du bien dans le monde", Javier Solana, juin 2003.
"Faire l’empire européen, tout le monde le veut", Dominique Strauss-Kahn, juin 2004.
"Ce référendum est une connerie. Nous avons fait la connerie de le demander et Jacques Chirac a fait la connerie de le convoquer", Dominique Strauss-Kahn, janvier 2005.
"Si le non gagne, tout le monde va quitter la France", Johnny Halliday, 2 mai 2005.
"Si la réponse est non, il faudra recommencer le vote car il faut absolument que ce soit oui !", Jean-Luc Dehaene, ancien premier ministre belge, juillet 2004.
"Les délocalisations sont des décisions que les entreprises peuvent et doivent prendre", Manuel Barroso, Président de la Commission européenne, février 2005.
"Oui, mais ce que nous devons faire, c’est favoriser les délocalisations au sein de l’Europe", Danuta Hübner, Commissaire européen (origine polonaise), février 2005.
"Si le non est si haut dans les sondages, c’est que l’on n’entend plus partout que ses partisans", Alain Duhamel, avril 2005.
"La Constitution nous apportera un ministre des affaires étrangères qui nous permettra de parler d’une seule voix tout en gardant la nôtre", Jean-François Copé, porte-parole du gouvernement, février 2005.
"Si le non l’emporte, on ne pourra plus revenir sur la doctrine Bolkestein parce qu’elle est incluse dans le traité de Nice", Jean-Marc Ayrault, Président du groupe socialiste à l’Assemblée Nationale et spécialiste des "n’importe quoi", France Info, 10 h 35 le 3 mai 2005.
"Il n’y a pas de raison de financer éternellement l’agriculture européenne. Les Européens doivent apprendre à acheter leur vin en Australie ou en Californie, leur viande en Argentine ou au Mexique, leur blé en Ukraine ou aux Etats-Unis", Pascal Lamy, août 2003.
"Pour faire l’Europe, il faut défaire un peu la France", Rudolf Von Thadden, ancien coordinateur des relations franco-allemandes, juin 2001.
"La Constitution constituera un bouleversement par rapport au concept d’Etat-nation. C’est un changement à l’échelle des siècles de l’histoire", Romano Prodi, alors Président de la Commission européenne, novembre 2003.
"Le concept traditionnel de citoyenneté a été dépassé au XXIème siècle. Nous assistons aux derniers soubresauts des politiques nationales", Miguel Moratinos, Ministre des affaires étrangères espagnol, février 2005.