C’est Patrick Cohen qui a mis le feu aux poudres en annonçant publiquement l’existence de sa liste noire ! Si cette liste n’avait pas existé, Dieudonné n’aurait jamais riposté à Patrick Cohen par une insulte imbécile ! Je trouve l’attitude victimaire de Patrick Cohen suspecte. Pourquoi victimaire et suspecte ? Parce qu’elle procède d’une confusion volontaire qui me fait me demander quelles en sont les véritables raisons. Comme certains politiciens ou professionnels des médias, Patrick Cohen affirme que la critique du sionisme est de l’antisémitisme. Mais ce n’est pas une association involontaire des mots, c’est pour défendre une certaine politique. Oui, le sionisme est une idéologie politique qui peut être critiquée. Oui, Patrick Cohen, on peut être antisioniste, critiquer la politique du gouvernement d’Israel sans être antisémite (il existe des juifs antisionistes et des juifs pacifistes, et Patrick Cohen le sait) ! Quand on constate ce à quoi le sionisme a abouti au Moyen orient, on peut trouver hypocrite et abusif ce recours systématique à un prétendu antisémitisme à chaque fois que la politique d’Israel est en cause. On devrait s’interroger : Patrick Cohen ajoute-t-il à sa qualité de journaliste celle d’être un sayanim ? Pour éclairer le sens de cette question, lire la page consacrée aux sayanim dans wikipedia et aussi l’interview de Jacob Cohen dans “Solidarité Palestine” à propos de son livre “Le printemps des sayanim”.
Peut-on contester ce que l’on dit du 11 septembre (version de la commission d’enquête américaine) ? En a t-on le droit ?
Certains journalistes (?) devraient dire clairement qu’ils ne le veulent pas.
Ces journalistes (?) savent-ils que ceux qu’ils nomment avec mépris "conspirationnistes", ce sont aux États Unis : les familles des victimes et des pompiers morts dans la catastrophe, des architectes, des pilotes, des militaires, des élus. Ces gens là sont des citoyens qui veulent lever des doutes, tout simplement.
...Comme à New-York, l’association NYC CAN qui agit pour la tenue d’un référendum d’initiative populaire ouvrant la possibilité d’une nouvelle enquête, et qui vient de remporter une bataille décisive, en recueillant 80 000 signatures (alors que seulement 30 000 sont nécessaires). Désormais, si la légalité de la requête est validée, les électeurs new-yorkais pourront se prononcer sur la constitution d’une commission d’investigation sur les attentats de Manhattan.
Ces journalistes (?) savent-ils que trois tours (et non deux) se sont effondrées sous l’impact de deux avions ?
Ces journalistes (?) ont-ils vu les photos prises par les employés du Pentagone qui montrent la dimension du trou fait par le Boeing 747 avant que le mur s’effondre ?
Oui, comme de très nombreux américains, comme Mathieu Kassovitz, nous avons le droit de nous interroger. Comme s’interrogeaient les journalistes américains relatant le drame à l’époque, devant tel ou tel détail étonnant. Dommage que par la suite, et durant des années, les médias se soient satisfaits des explications gouvernementales sans enquêter par eux mêmes. C’est probablement ce qui en culpabilise plus d’un dans les rédactions aujourd’hui....
Car, ce sont des "journalistes" qui ont affirmé qu’il y avait eu un massacre à Timisoara, qui ont affirmé que le nuage de Tchnernobyl s’était arrêté à la frontière française, qui ont affirmé qu’il y avait des armes de destruction massive en Irak... La liste est longue.
Les "nombreuses théories complotistes existant sur le sujet, la pensée conspirationniste, la paranoïa, le négationisme", comme les nomment les auteurs de ces articles, sont leurs seuls arguments. Où est l’information là dedans ?
J’ai des proches aux États Unis, et je trouve insultant pour eux et pour le peuple américain que des journalistes dont la mission est d’informer participent au concert de bassesses auquel se livrent les principaux médias.
...Avec de telles méthodes, pas étonnant si la presse perd des lecteurs.