Aliénations du déraciné en barcasse, où sur pied, se projette dans la facilité de la méfiance instinctive de l’altérité ; ersatz à la nation politique détruite par le gôôôchiste, plus d’entraide abstraite politique, alors vive l’infra-politique multi-ethniqué !
Il faut aller dans le sens du courant de l’Histoire, le fleuve de Purin Sociétal ; comme dit le bantou, est fou celui qui essaie de pagayer contre, est fou le Soral !
où le
monde se donne à vous avec cette plénitude de sens « humain » (pas le consumérisme du bobo
libidineux larvaire baffreur le pousseur de caddie), c.a.d
pour barbu le Califat existe pour lui, pendant qu’il vit en lui
C’est du Husserl « zu den sachen selbst » : « revenir aux choses mêmes » .... Barbu c’est du matérialisme historique opposé à tte recherche de transcendance véritable, c’est de l’infrastructure marxiste, du proto-communisme (la Oumma) comme Marx parle de l’antique tribu germanique.
Comme le vieux coréen du sud s’est tué au boulot pour son peuple
Expérience totale, holisme, perdus pour l’occidental bobo chiure finale de son Histoire.
Et moi souchien apache, je vis en terre colonisée, otanienne, ennemie.
@anti americain primaire qui n’est pas musulman ? les terroristes ? des bouddhistes ?
Marx dans son Introduction à la Critique de l’Économie politique.
" Jamais la mythologie égyptienne n’aurait pu fournir un terrain
favorable à l’éclosion de l’art grec. Mais il faut en tout cas une
mythologie."
L’Islam
est LE surmoi arabe, sa mythologie ; la nation est
occidentale, la modernité aussi. Chacun ses mythes raciaux, art et idéologie.
Aussi l’arabe barbu déraciné, sans identité dans la nation déchue Boobaland, diluée par le haut UE et le bas multiakulti, se rattache à une gloire perdue, l’Islam, qui est la sienne. L’islamisme n’est pas histoire de religion, mais histoire d’Histoire, aussi le baasiste devient barbu, comme le dealer. Il trouvent la force de leur identité.