Frédéric Lordon ne pense pas comme tous les allemands,
mais il connaît mieux leur gouvernants qu’il suit depuis pas mal de temps
et dans le prévisionnel, il est loin d’être crasse puisqu’en 2006, déjà, on pouvait lire dans ses écrits le crash d’août 2008...
Effectivement, c’est bien un être humain qui peut se tromper, mais aussi sa sincérité ne peut être mise en doute et dans le climat actuel, je trouve que c’est un bon argument de suivre ses avis...