MACRON
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Du soutien à Israël sans réserve dês les premiers jours ainsi que de la promotion une coalition internationale pour abattre le hamas qui a fait flop à l’appel désormais à un cessez le feu qui ne peut être qu’une aubaine pour ce dernier alors que quotidiennement Tsahal applique durant 4 heures une pause dans les opérations militaires..
De l’appel à l’union nationale à sa non participation à la marche contre l’antisémitisme après avoir , lui et ses séides, tout mis en œuvre pour la saboter…
Ou comment la grandiloquence et la détermination feinte des premiers jours s’étiolent pour céder la place au visage hideux de l’extrême centre qui n’hésite plus à sacrifier l’ honneur du pays pour refuser de conduire cette guerre qui pourtant lui est faire sur le sol de France.
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source : un intervenant du blog de Rioufol.
Depuis le 7 octobre, date du pogrom du Hamas, les masques tombent. On a pu voir qu’Éric Zemmour est le seul homme politique à être allé tenir un meeting émouvant devant les Français partis vivre en Israël parce que ne se sentant plus en sécurité en France. Chacun a pu constater que Marine Le Pen, longtemps nazifiée, s’est rangée du côté de l’état hébreu.
Mais surtout tout le monde a pu voir que Jean-Luc Mélenchon et LFI ont refusé de condamner les actes du Hamas et de qualifier cette organisation de “terroriste”. Ce soutien fait suite à celui, à peine voilé, des émeutes de juin, à celui, net, à l’abaya à l’école.
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Tout cela peut paraître surprenant. On nous serine que la droite c’ est mal, c’ est le racisme. La gauche c’ est bien, c’ est la lutte contre les méchants, les antisémites entre autres. Cela n’ est pas si simple. L’ historien Simon Epstein s’ était penché sur ce phénomène, constatant que la résistance au nazisme pouvait être de droite et la collaboration de gauche :
https://www.lemonde.fr/televisions-radio/article/2017/12/10/tv-quand-la-gauche-collaborait-1939-1945_5227582_1655027.html
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Rien de nouveau sous le soleil.
@ezechiel
Vous dites
" les croisés, qui se définissent par des actes de conquête "
Il à noter que les croisades étaient une réaction aux pressions militaires subies par Byzance du fait de divers peuples musulmans dont les Arabes et de l’ impossibilités de procéder, comme par le passé, à des pèlerinage à Jérusalem.