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Pierre-Elie

Pierre-Elie

Je suis un catholique lucide, et qui a lu le Coran.
Sourate 47, verset 4 : « Lorsque vous rencontrez les incrédules (les non-musulmans), frappez-les à la nuque jusqu’à ce que vous les ayez abattus : liez-les alors fortement ; puis vous choisirez entre leur libération et leur rançon afin que cesse la guerre.  »
Sourate 9, verset 123 : « Ô vous qui croyez ! Tuez ceux des incrédules qui sont auprès de vous. Qu’ils vous trouvent durs. »
Les imans de Bordeaux ou de Drancy, Messieurs Tareq Oubrou et Hassen Chalghoumi, sont présentés comme des modèles d'intégration réussie aux valeurs de notre démocratique. 
Ce sont des hypocrites, ou plus exactement des gens qui pratiquent la Taqiya : le droit de mentir en vue de la victoire de l'islam.
Les meurtres scandaleux qui ont ensanglanté Paris et tué nos enfants ont été commis par des musulmans qui obéissent au Coran. Or le Coran est considéré, par la totalité des musulmans, comme un livre parfait, sans erreur, et l'exact reflet de la parole d'Allah. Tous les musulmans qui proclament que le Coran est sans erreur, sont comme des Allemands qui critiqueraient les SS, mais encenceraient Mein Kampf, au nom d'une prétendue origine divine.
L'histoire et l'épigraphie ont prouvé que le Coran avait une longue histoire, qu'il avait été élaboré sur deux siècles. C'est un ouvrage de poésie bédouine dont le contenu n'a rien d'incréé, de sacré ou de parfait. Seuls les imans reconnaissant ce fait historique devraient être autorisés à prêcher en France. 
Les versets sadiques et obscènes du Coran doivent être proclamés comme n'étant pas de Dieu, par ceux qui voudraient avoir le droit de se dire musulmans dans nos démocraties  : infériorité des femmes (S. 4, 34 ; (S. 2, 228) ; légitimisation de l'esclavage (S. 30, 28 ; S. 16, 71) ; viol des esclaves (S. 24, 33), réduction en esclavage des prises de guerres (S. 33, 50) ; pédophilie (S. 65, 4) ; crucifixion des opposants (S. 5, 33) ; torture pour les homosexuels (S. 4, 16) ; fouet pour les faux témoins (S. 24, 4) et les adultères (S. 24, 2), amputation de la main pour les voleurs (S. 5, 38-39). Aucun contexte de justifie un tel sadisme ! Ces versets ne sont pas de Dieu. Le Coran blasphème ! Or l'intégralité des musulmans le vénèrent. 

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    Pierre-Elie Pierre-Elie 16 novembre 2015 10:48

    Pour protéger nos démocraties, il faut être lucide sur l’islam et sur l’histoire de l’islam, ainsi que sur le contenu du Coran. 

     Sourate 9, verset 123 : «  Ô vous qui croyez ! Tuez ceux des incrédules qui sont auprès de vous. Qu’ils vous trouvent durs.  »

    Les imams de Bordeaux ou de Drancy, Messieurs Tareq Oubrou et Hassen Chalghoumi, sont présentés comme des modèles d’intégration réussie aux valeurs de notre démocratique. 

    Ce sont des hypocrites, ou plus exactement des gens qui pratiquent la Taqiya : le droit de mentir en vue de la victoire de l’islam.

    Les meurtres scandaleux qui ont ensanglanté Paris et tué nos enfants ont été commis par des musulmans qui obéissent au Coran. Or le Coran est considéré, par la totalité des musulmans, comme un livre parfait, sans erreur, et l’exact reflet de la parole d’Allah. Tous les musulmans qui proclament que le Coran est sans erreur, sont comme des Allemands qui critiqueraient les SS, mais encenseraient Mein Kampf, au nom d’une prétendue origine divine.

    L’histoire et l’épigraphie ont prouvé que le Coran avait une longue histoire, qu’il avait été élaboré sur deux siècles. C’est un ouvrage de poésie bédouine dont le contenu n’a rien d’incréé, de sacré ou de parfait. Seuls les imams reconnaissant ce fait historique devraient être autorisés à prêcher en France. 

    Les versets sadiques et obscènes du Coran doivent être proclamés comme n’étant pas de Dieu, par ceux qui voudraient avoir le droit de se dire musulmans dans nos démocraties  : infériorité des femmes (S. 4, 34 ; (S. 2, 228) ; légitimation de l’esclavage (S. 30, 28 ; S. 16, 71) ; viol des esclaves (S. 24, 33), réduction en esclavage des prises de guerres (S. 33, 50) ; pédophilie (S. 65, 4) ; crucifixion des opposants (S. 5, 33) ; torture pour les homosexuels (S. 4, 16) ; fouet pour les faux témoins (S. 24, 4) et les adultères (S. 24, 2), amputation de la main pour les voleurs (S. 5, 38-39). Aucun contexte de justifie un tel sadisme ! Ces versets ne sont pas de Dieu. Le Coran blasphème ! Or l’intégralité des musulmans le vénèrent.

    Nous ne comprenons pas cela, car nous pensons que les musulmans lisent le Coran, comme les chrétiens lisent la Bible. Or il n’en est rien. Si on veut comparer des choses comparables, c’est le Christ qui occupe pour les chrétiens, la place que le Coran a pour les musulmans. La Bible n’a jamais été considérée comme parfaite ou incréée. Tous les chrétiens la savent écrite par des hommes. De plus, le Christ a appelé à la paix et au pardon des offenses, alors que le Coran appelle à la guerre pour répandre l’islam : « On vous a prescrit le combat. Il vous est cependant désagréable. Or, il se peut que vous avez de l’aversion pour une chose qui cependant vous est un bien  » (S. 2, 216).

    La guerre, nous l’avons ! Allons nous nous soumettre ?

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