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    Pourquoi pas Pourquoi pas 7 août 2014 11:32

    5 août 2014
    Pourquoi Israël ment (Truth Dig), Chris HEDGES

    Tous les gouvernements mentent, comme le faisait remarquer IF Stone, y compris Israël et le Hamas. Mais Israël profère ces mensonges à couper le souffle qui caractérisent les régimes despotiques et totalitaires. Il ne déforme pas la vérité ; il la retourne. Il brosse régulièrement un tableau destiné au monde extérieur qui est diamétralement opposé à la réalité. Et nous tous, journalistes qui avons couvert les territoires occupés connaissons ces narratives israéliennes sorties d’Alice au pays des merveilles, et que nous insérons consciencieusement dans nos articles – chose requise en vertu des règles du journalisme américain, même si nous savons qu’elles sont fausses.

    J’ai vu des petits garçons appâtés et tués par des soldats israéliens dans le camp de réfugiés de Khan Younis à Gaza. Les soldats ont insulté les garçons en arabe par des haut-parleurs de leur jeep blindée. Les garçons, âgés d’environ 10 ans, ont ensuite jeté des pierres sur un véhicule israélien et les soldats ont ouvert le feu, tuant quelques-uns, en blessant plusieurs autres. J’étais présent plus d’une fois lorsque les troupes israéliennes ont tiré et tué des enfants palestiniens de cette façon. Ces incidents, dans le largon israélien, deviennent des enfants « pris entre deux feux ». J’étais dans la bande de Gaza lorsque des avions de combat F-16 ont largué des bombes à fragmentation de 500 kg sur des taudis surpeuplés dans la ville de Gaza. J’ai vu les cadavres des victimes, y compris les enfants. Cela s’est transformé en une « frappe chirurgicale sur une usine de fabrication de bombes ». J’ai regardé Israël démolir des maisons et des immeubles entiers pour créer de larges zones tampons entre les Palestiniens et les troupes israéliennes qui entourent la bande de Gaza. J’ai interrogé les familles démunies et sans-abri, certaines campaient dans des abris de fortune érigés au milieu des décombres. La destruction devient « la démolition des maisons des terroristes ». J’ai foulé les ruines d’écoles - Israël a frappé deux écoles des Nations Unies au cours des six derniers jours, faisant au moins 10 morts dans une école à Rafah le dimanche et au moins 19 dans le camp de réfugiés de Jebaliya mercredi - ainsi que des ruines de cliniques et de mosquées. J’ai entendu Israël prétendre que des roquettes perdues ou des tirs de mortier des Palestiniens avaient provoqué ces décès et d’autres, ou que les points attaqués avaient été utilisés comme des dépôts d’armes ou des sites de lancement. Moi, comme tous les autres journalistes que je connais qui ont travaillé dans la bande de Gaza, je n’ai jamais vu la moindre preuve que le Hamas utilise les civils comme « boucliers humains ».

    Il y a une logique perverse dans le recours incessant par Israël au Grand Mensonge - Große Lüge - le mensonge favori des tyrans d’Adolf Hitler et Joseph Staline à Saddam Hussein. Le Grand Mensonge alimente les deux réactions qu’Israël cherche à susciter - le racisme parmi ses partisans et la terreur parmi ses victimes.

    En brossant le tableau d’une armée qui ne s’attaque jamais à des civils, qui fait tout son possible pour les protéger, le Grand Mensonge dit que les Israéliens sont civilisés et humains, et que leurs adversaires palestiniens sont des monstres inhumains. Le Grand Mensonge sert l’idée que le massacre à Gaza est un choc des civilisations, une guerre entre la démocratie, la décence et l’honneur d’un côté et la barbarie islamique de l’autre. Et dans les rares cas où les nouvelles des atrocités atteignent le grand public, Israël rejette les destructions et les morts sur le Hamas.

    George Orwell dans son roman « 1984 » a qualifié cette forme de propagande de double-pensée. La double-pensée emploie « la logique contre la logique » et « rejette la morale tout en s’en réclamant ». Le Grand Mensonge n’autorise ni les nuances ni les contradictions qui peuvent empoisonner la conscience. C’est une réponse orchestrée par l’État au dilemme de la dissonance cognitive. Le Grand Mensonge ne connaît pas de zones grises. Le monde est en noir et blanc, le bien et le mal, le juste et l’injuste. Le Grand Mensonge permet aux croyants de se consoler - un confort qu’ils cherchent désespérément dans leur propre supériorité morale au moment même où ils ont abandonné toute morale.

    Le Grand Mensonge, comme l’a écrit le père des relations publiques américaines, Edward Bernays, n’est limité que par la capacité du propagandiste à comprendre et exploiter les courants sous-jacents de la psychologie individuelle et de masse. Et puisque la plupart des partisans d’Israël n’ont aucun désir de connaître la vérité, une vérité qui les obligerait à examiner leur propre racisme et auto-illusion sur la supériorité morale sioniste et occidentale, tels une meute de chiens affamés ils se jettent sur les mensonges offerts par le gouvernement israélien. Le Grand Mensonge trouve toujours un terrain fertile dans ce que Bernays a appelé le « compartiment de l’adhésion dogmatique à l’épreuve de toute logique. » Toute propagande efficace, a écrit Bernays, cible et s’appuie sur ces « habitudes psychologiques » irrationnelles.

    C’est le monde que Franz Kafka envisageait, un monde où l’irrationnel devient rationnel. Un monde où, comme Gustave Le Bon l’a relevé dans (son livre) « La psychologie des foules », ceux qui fournissent aux masses les illusions dont elles rêvent deviennent leurs maîtres, et « celui qui tente de détruire leurs illusions est toujours leur victime ». Cette irrationalité explique la violence de la réaction des supporters d’Israël envers ceux qui ont le courage de dire la vérité - Uri Avnery, Max Blumenthal, Noam Chomsky, Jonathan Cook, Norman Finkelstein, Amira Hass, Gideon Levy, Ilan Pappé, Henry Siegman et Philip Weiss. Le fait que tant de voix soient juives, et ont donc plus de crédibilité que les non-juifs parmi les pom-pom girls d’Israël, renforce encore le niveau de haine.

    Mais le Grand Mensonge est aussi consciemment conçu pour envoyer un message dissuasif aux Palestiniens de Gaza, qui ont perdu un grand nombre de leurs habitations, cliniques, mosquées, et installations d’énergie, d’eau et d’assainissement, ainsi que des écoles et des hôpitaux, et qui ont subi 1650 morts depuis le début de cet assaut, la plupart des des femmes et des enfants, et qui ont vu 400 000 personnes déplacées de leurs foyers. Le Grand Mensonge dit clairement aux Palestiniens qu’Israël continuera à mener une campagne de terreur d’Etat et n’admettra jamais ses atrocités ni ses objectifs. La grande disparité entre ce qu’Israël dit et ce qu’Israël fait dit aux Palestiniens qu’il n’y a pas d’espoir. Israël va faire et dire ce qu’il veut. Le droit international, comme la vérité, seront toujours ignorés. Les Palestiniens comprennent par le Grand Mensonge que les dirigeants israéliens ne reconnaîtront jamais la réalité.

    Le site internet des Forces de Défense d’Israël est rempli de propagande. « Le Hamas exploite la sensibilité de l’IDF qui tente de protéger les structures civiles, en particulier les lieux saints, en cachant les centres de commandement, des caches d’armes et l’entrée des tunnels dans les mosquées », peut-on lire sur le site de Tsahal. « Dans le monde du Hamas, les hôpitaux sont des centres de commandement, les ambulances sont des véhicules de transport, et des médecins sont des boucliers humains », insiste le site.

    « .. Les officiers [israéliens] sont chargés d’une énorme responsabilité : protéger les civils palestiniens sur le terrain, peu importe les difficultés rencontrées », assure le site à ses visiteurs. Et le site de Tsahal fournit cette citation d’un opérateur de drone identifié comme le lieutenant Or. « J’ai personnellement vu des roquettes tirées sur Israël à partir d’hôpitaux et d’écoles, mais nous ne pouvions pas riposter parce qu’il y avait des civils à proximité. Dans un cas, nous avions repéré une cible, mais nous avons vu qu’il y avait des enfants à proximité. Nous avons attendu, et quand nous avons vu qu’ils ne partaient pas, nous avons du interrompre la frappe sur une cible importante. »

    L’ambassadeur d’Israël aux Etats-Unis, Ron Dermer, dans un Grand Mensonge individuel, a déclaré le mois dernier lors d’une conférence de Chrétiens Unis pour Israël que l’armée israélienne devrait recevoir le « Prix Nobel de la paix ... un prix Nobel de la paix pour avoir fait preuve d’une retenue inimaginable ».

    Le Grand Mensonge détruit toute possibilité d’histoire et donc d’espoir d’un dialogue entre les parties antagonistes qui serait basé sur la vérité et la réalité. Alors que, comme Hannah Arendt l’a souligné, les sophistes anciens et modernes cherchaient à remporter un argument au détriment de la vérité, ceux qui brandissent le Grand Mensonge « veulent une victoire plus durable au détriment de la réalité ». Les anciens sophistes, dit-elle, « ont détruit la dignité de la pensée humaine ». Ceux qui ont recours au Grand Mensonge « détruisent la dignité de l’action humaine ». Le résultat, a mis en garde Arendt, est que « l’histoire elle-même est détruite ainsi que son intelligibilité ». Et lorsque les faits n’importent plus, lorsqu’il n’y a pas d’histoire commune fondée sur la vérité, lorsque les gens croient bêtement à leurs propres mensonges, il ne peut y avoir d’échange d’information utile. Le Grand Mensonge, employé par Israël comme une matraque, réduit tous les problèmes du monde à une expression brutale de violence – ce qui était peut-être son objectif initial. Et quand les gens opprimés ne sont interpellés qu’avec la violence, ils ne répondent que par la violence.

    Chris Hedges

    Traduction "un point commun de plus avec la classe politique US" par VD pour le Grand Soir avec probablement toutes les fautes et coquilles habituelles.
     » » http://www.truthdig.com/report/page2..._lies_20140803
    URL de cet article 26511
    http://www.legrandsoir.info/pourquoi...truth-dig.html



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    Pourquoi pas Pourquoi pas 7 août 2014 11:25

    Les douze règles du journalisme "indépendant" :

    Règle n° 1  : Au Proche-Orient, ce sont toujours les Arabes qui attaquent les premiers, et c’est toujours Israël qui se défend. Cela s’appelle des représailles, ou de la légitime défense, pour protéger ses citoyens. L’armée "Tsahal", un nom familier, devient une armée de défense d’Israël. TSAHAL : Nom donné à l’armée israélienne pour Tsva Haganah lé-Israël ce qui veut dire "Force de défense d’Israël".
    En effet, comme chacun le sait, Tsahal, ne bombarde JAMAIS des populations civiles, elle fait de la chirurgie microscopique... 
    Elle n’attaque JAMAIS, elle ne fait que DEFENDRE israël, et JAMAIS elle ne s’aviserait d’occuper un quelconque territoire, comme le Liban Sud, le Golan syrien, la Cisjordanie, Jérusalem Est, le Sinaï égyptien, les îles séoudiennes de Tiran et Sanafir

    Règle n° 2  : Les Arabes, Palestiniens ou Libanais n’ont pas le droit de tuer des civils, ni d’ailleurs, d’emprisonner des militaires israéliens, de l’autre camp. Cela s’appelle du terrorisme et de l’agression, et une violation du cessez le feu, surtout, lorsque les militaires israéliens sont arrêtés alors qu’ils participent à des massacres de civils et des enfants, dans les territoires occupés, ou en cours d’agression. 
    D’ailleurs, cela s’appelle une agression caractérisée, contre les "forces de défense d’Israël", et c’est donc, une menace à la paix et à la stabilité du Moyen orient, voire, un crime contre l’humanité, imprescriptible.

    Règle n° 3  : Israël a le droit de tuer les civils arabes, dont des enfants, des femmes, des vieillards. Mieux, elle a le droit de viser plus particulièrement, les hôpitaux, qui soignent les blessés, car s’ils ont été victimes des bombardements de l’aviation de Tsahal, c’est justement, parce qu’ils servaient de boucliers pour les terroristes, et s’ils sont nombreux à être victimes, c’est justement, parce qu’ils se trouve que leurs domiciles sont des rampes de lancement des missiles palestiniens qui visent l’armée défense d’Israël. 
    Mieux, Israël a le droit de détruire les écoles palestiniennes, parce qu’elles forment de futurs terroristes, et les bombarder est un acte légitime pour protéger la population et les soldats de Tsahal.

    Cela s’appelle de la légitime défense, bien entendu, et on peut même dire, que c’est un nettoyage préventif, pour protéger le peuple israélien.

    Règle n° 4  : Quand Israël tue trop de civils, les puissances occidentales l’appellent à la retenue. Au pire, elles l’appellent à un carnage proportionné. Cela s’appelle la réaction humanitaire, de la communauté internationale, qui refuse par équité de confondre les terroristes, avec le droit d’Israël, de se protéger des terroristes.
    En effet, quel est ce pays ou cette armée qui refuserait de servir la noble cause de la protection de ses populations au prétexte, que tuer ou détruire les infrastructures sociales d’un pays que l’on veut occuper ou, que l’on veut dépeupler pour laisser place nette à ses propres colons, qui ont reçu ce pays comme don de Yahvé, au "peuple élu", juif uniquement ? 
    Cela serait une trahison, et un manquement, voire un blasphème vis-à-vis du bienfaiteur Elohim !

    Règle n° 5  : Les Palestiniens et les Libanais n’ont pas le droit de capturer des militaires israéliens ; c’est un enlèvement, même si leur nombre est très limité et ne dépasse pas trois soldats.
    En effet, c’est un affront à Yahvé, et une iniquité vis-à-vis de D..., voire un sacrilège, car un soldat de " l’armée la plus morale du monde", est très sensible et l’affront moral qu’il subirait du fait de sa "capture", illégitime, lui causerait à la fois un traumatisme insupportable pour un humain, et pire, elle le souillerait, du fait qu’il aurait à être nourri sans égard pour les règles de la cacherout.

    Règle n° 6 : Les Israéliens ont le droit d’enlever autant de Palestiniens qu’ils le souhaitent (environ 10 000 prisonniers à ce jour, dont près de 300 enfants). Il n’y a aucune limite et ils n’ont besoin d’apporter aucune preuve de la culpabilité des personnes enlevées. Il suffit juste de dire le mot magique « terroriste ». 
    En effet, s’ils ne sont pas terroristes, eux-mêmes, ils sont parents ou voisins de terroristes. Or, comme tous les Palestiniens, sont arabes, et comme tout un chacun sait que les arabes sont tous des terroristes, tous les Palestiniens, arrêtés ou enlevés par Tsahal, ne peuvent qu’être des terroristes, et les juger, serait une perte de temps, et contraire à l’évidence.

    Règle n° 7 : Quand vous dites "Hezbollah", il faut toujours ajouter l’expression "soutenu par la Syrie et l’Iran". En effet, l’Iran est le "méchant", comme chacun sait, et la Syrie, est gouvernée par un dictateur. 
    Or, ces deux pays, ne dénoncent pas la résistance du Hezbollah, comme les autres pays arabes qui coopèrent avec Israël, pire, ils l’arment, et ils lui donnent la couverture médiatique contre Israël, donc, eux aussi sont des pays terroristes ; et comme chacun sait, la communauté internationale a mis ces deux pays au ban de l’humanité et elle leur fait subir un boycott de plus en plus sévère, voire, elle envisage de leur faire subir des frappes chirurgicales pour détruire leur capacité défensive, en vue d’assurer la "défense de l’rmée la plus morale du monde", et le "peuple élu", victime de la Shoah, et qui ne finit pas de vivre le traumatisme des camps de concentration e des chambres à gaz... !

    Règle n° 8  : Quand vous dites "Israël", il ne faut surtout pas ajouter : "soutenu par les États-Unis, la France et l’Europe", car on pourrait croire qu’il s’agit d’un conflit déséquilibré. L’écrire, c’est abonder dans l’ignominie des antisémites, qui osent encore remettre en cause le droit divin des juifs de vivre dans le pays que leur a donné Yahvé, et que la communauté humaine doit protéger, ne serait-ce que pour ne pas offenser D... qui a donné cette terre au peuple d’Israël !


    Règle n° 9  : Ne jamais parler de "territoires occupés", dites seulement « territoires », ni de résolutions de l’ONU, ni de violations du droit international, ni des conventions de Genève, ni de crimes contre l’humanité, de la part des actions de purification ethnique menées par la Force de défense d’Israël, qui est comme tout un chacun en convient, "l’armée la plus humaine, la plus sensible, et la plus morale au monde". Cela risque de perturber le téléspectateur et l’auditeur, et pire, cela réjouirait les antisémites et les révisionnistes, et ce serait ipso facto, remettre en cause la Loi Fabius Gayssot.

    Règle n° 10 : Ne pas dire "armée israélienne", appelez-la affectueusement par son petit nom, Tsahal. En effet, l’armée de défense d’Israël, n’est nullement comparable à aucune armée au monde ; lorsque les soldats de Tsahal tirent sur des enfants, ils souffrent et ils pleurent, car ils vivent un drame psychologique que ne peut ressentir qu’un saint homme obligé de sacrifier la vie d’un terroriste, qui est tout de même un humain, mais, pour sauver des milliers, voire, des millions de juifs israéliens. 

    Pour chaque enfant "goïm", palestinien, syrien, irakien, libanais tué, par nécessité ou par devoir, c’est des milliers de juifs du "peule élu" qui sont préventivement sauvés ; et cet acte ne peut qu’être béni par Yahvé, qui a Lui-même noyé Pharaon et son armée égyptienne, pour sauver "son peuple" !

    Règle n° 11 : Les Israéliens parlent mieux le français que les Arabes, d’une part, et d’autre part, ils sont mieux intégrés dans les sociétés occidentales, et ils constituent ou font partie, partout dans le monde, des élites économiques, financières, scientifiques et culturelles. C’est ce qui explique qu’on leur donne, tout naturellement, ainsi qu’à leurs partisans, aussi souvent que possible la parole. Ainsi, ils peuvent mieux nous expliquer les règles précédentes (de 1 à 10), car ils sont rationnels, pédagogues, et surtout objectifs . Cela s’appelle de la neutralité journalistique.

    Règle n° 12 : Si vous n’êtes pas d’accord avec ces règles, ou si vous trouvez qu’elles favorisent une partie dans le conflit contre une autre, c’est que vous êtes un "dangereux antisémite" et "un révisionniste", passible des lois Gayssot-Fabius et donc, un imposteur, qui supporte le terrorisme et méritez de ce fait, d’être condamné à la peine capitale pour "non assistance aux rescapés des camps de la mort, et donc au peuple martyr d’Israël", et à ce titre, vous faites honte à l’humanité !
    Comment s’apitoyer sur des terroristes, alors que le peuple de la Shoha, ne vous émeut guère et que vous voulez le juger à l’aune des lois faites pour les goys. !!

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