@Serge ULESKI de même, vos manières mauvaises s’apparente à de la calomnie. si vous avez des doutes quand à ses revenues, menez l’enquête et revenez avec de vrai info, cessez vos insinuations suspicieuses.
pinaise, vous ne pouvez pas vous contenter d’écouter les connaissances que zimmerman a acquis dans son domaine d’expertise et d’en apprendre ? et y en a déjà beaucoup avec les technologies de l’information, la vidéo-surveillance et un certain regard de l’intérieur sur le processus démocratique européen.
s’il faut absolument parler de marx, je vous en pris faites... ajouter votre pierre à l’édification du savoir au lieu de simplement râler, critiquer, stigmatiser... les commentaires sont là pour ça vous éviteriez de passer pour une caricature de papy-boomer franchouillard et ronchon ;)
au delà de la question de la parité, ça démontre pour moi une véritable mégalomanie du contrôle, ce député est complètement dingue, à ce point faut l’enfermer. l’état n’a pas à s’ingérer dans la façon dont on pisse.
un pur produit de manipulation à mon sens, du sondage au montage. à force de répéter le mensonge, il parait plus vrai que la vérité. http://pacco.fr/candy-man/
En fait, dans son appartement, Rampa n’accordait d’attention
particulière qu’à une seule chose : ses plantes vertes. Elles étaient
plantureuses, chlorophyllées, splendides, avec des feuilles brillantes,
saines et lustrées.
Pour obtenir un tel résultat, rampa arpentait l’appartement une fois par
semaine avec un brumisateur pour plantes en plastique vert, brumisait
les feuilles et parlait à ses plantes.
L’idée de leur parler uli avait été suggérée par une émission sur Radio 4
au début des années 70, et lui avait semblé excellente. Mais peut être
que "parler" n’est pas le mot le plus approprié pour décrire ce que
faisait Rampa.
En fait, il leur flanquait une peur de tous les diables.
Ou plus exactement une frousse de Rampa.
De plus, tous les deux mois environ, Rampa sélectionnait une plante :
elle croissait trop lentement, elle se mourrait d’une moisissure, ses
feuilles viraient au brun, ou tout simplement elle n’avait pas aussi
bonne mine que ses concoeurs. Il la promenait devant tous les autres
végétaux, en leur disant
"Dites adieu à votre copine. Elle n’était pas à la hauteur..."
Ensuite, il quittait l’appartement avec la plante félonne et rentrait
une heure plus tard avec un grand pot de fleurs vide, qu’il laissait
ostensiblement traîner dans l’appartement.
Il avait les plus luxuriantes, les plus belles plantes vertes de tout Londres. Les plus terrifiées aussi.