rageagainst

très bon entretien avec Pierre Serna, je me suis régalé et eu un fou-rire avec le dictionnaire des girouettes paru sous la restauration : ça vaut son pesant de cacahouètes comme dirait l’autre !

L’extrême-centre ; un centre radicalisé, un pouvoir autoritaire ni de gauche ni de droite qui ne dit pas son nom...

coquille : il appelait Paul Kagamé, le khmer noir

@maQiavel
ben voyons... Mitterrand et ses conseillers se sont plantés en beauté sur le conflit Hutus/Tutsis et se sont leurrés sur le pouvoir Hutu. Ils l’ont appuyé militairement (conseillers militaires à la mode soviétiques ou américains), sans voir que les extrémistes s’infiltraient (femme du président assassiné, son frère) et ça a donné "la radio des milles collines", et les milices à machettes. Péan a voulu dédouaner l’armée française et incriminer Paul Kagamé et le FRP pour l’assassinat du président rwandais (l’avion qui s’est écrasé à kigali) ce qui aurait déclencher le génocide que l’on connait...

Oui mais c’est quand étrange que sîtot la nouvelle connue les milices huttus ont aussitôt entamé les massacres : ils savaient pour l’attentat et cétait un prétexte et le signal). Il faut savoir aussi que le président rwandais qui était un modéré huttu était prêt à partager le pouvoir avec kagamé pour mettre fin à la guerre civile. son élimination par le clan extrémiste (sa propre épouse et son beau frère !!!) est de l’ordre du possible.

Mitterrand leurré par le pouvoir huttu a mis énormément de temps avant de réagir (même Kouchner s’y s’est cassé les dents), il appelait le "khmer noir" alors qu’il était justement en train de soutenir des génocidaires..
dans le livre de Péan, il n’y a que le titre du livre qui est potable "noires fureurs, blancs menteurs"

@Constant Danlerreur

tu fais du bruit en parlant, tu dois être atteint de logorrhée (du grec, qui signifie "parole qui coule"), autrement dit de bonne diarrhée verbale. Vu que c’est à chaque commentaire, faudrait consulter mon vieux...

Sabolien d’origine (moi d’adoption), il restera dans les mémoires pour l’affaire des diamants de Bokassa, la francisque de Mitterrand, son enquête sur la troïka infernale du Monde, ses bouquins sur l’afrique, par contre il s’est planté en beauté dans son bouquin "noires fureurs, blancs menteurs’ sur le génocide rwandais, à tel point qu’on peut le ranger dans littérature révisionniste.