De tout temps, Les US ont sacrifié d’innocentes vies pour servir leurs intérêts. Ils ne reculent devant rien, l’histoire nous le prouve.Ce n’est pas nouveau. Troy Davis , s’il est exécuté, deviendra un martyr, mais ça ne lui rendra pas la vie. Néanmoins j’espère que ça empoisonnera celle de ses assassins jusqu’à leur dernier souffle.
En France, le sujet est tabou, on n’a pas le droit de dire ça, même si on le pense fortement. Certains s’y sont essayés comme Bigard, mais il a vite fait des excuses publiques en disant qu’à ce moment là, il n’avait plus toute sa tête., il déprimait le pauvre bla bla bla...etc. J’ai regardé beaucoup de reportages sur le 11/09, lors de la commémoration , espérant qu’un doute serait émis, ou qu’une question serait posée notamment sur le rapport de 9 chercheurs en 2009, qui ont trouvé des traces de nano-thermite dans les poussières du WTC. Mais rien de rien.
le "complot" est de moins en moins "théorique". Niels Harrit, scientifique danois a publié en 2009, avec huit autres scientifiques, un rapport très intéressant sur la destruction des tours, preuves irréfutables à l’appui. Il a été interviewé le 9 avril 2009 par tv2 (télévision danoise).
J’ai lu un article sur "Slate", signé Anne Applebaum sur sarko et la guerre en lybie. Elle parle de BHL, je trouve que ça colle bien avec cette vidéo : "
The man who introduced Sarkozy to the
Benghazi rebels is none other than Bernard-Henri Lévy, a pop
philosopher so French that I can’t think of an American equivalent.
We just don’t have philosophers who wear their shirts unbuttoned,
marry blond actresses,
and in Bangladesh, Angola, Rwanda, Bosnia, and beyond. By siding
with Lévy’s emotional plea for humanitarian intervention—a
decision thtake
sides, enthusiastically, in warsat surprised even his own foreign
minister—Sarkozy apparently thinks he might share some of the
philosopher’s glamour.
ça fait plus d’ un siècle que ça dure (depuis 1850 ) mais ce n’est pas une raison pour ne rien faire. Ce modèle n’est pas le bon, il faut changer. Depuis plusieurs années , Olivier Delamarche, n’a pas la langue de bois et j’aime ça. Le modèle ultra libéral ne vaut pas mieux que la dictature du prolétariat. En les comparant on constate qu’ils ont beaucoup de points communs.