Merci à Frédérix Taddéï , un des derniers courageux gaulois d’avoir sauvé l’honneur des journalistes en ultime défenseur de la liberté d’expression. Maintenant les choses sont claires, en 1939 la france se réveillait sous l’occupation Allemande, en 2014 elle se retrouve sous l’occupation Israëlienne. Peu importe le pays, désormais il faut à nouveau ouvrir des réseaux de résistance à l’occupant, se cacher, se terrer, parler à voix basse, utiliser des codes secrets pour libérer notre patrie.
En toute honnêteté, il faut reconnaitre que malgré son talent, Morice est le champion du monde de l’amalgame. Sur certains sujets où je me sens concerné, il a vraiment tout mélangé à sa façon et de la manière la plus odieuse pour faire du sensationnel.
Le problème, c’est que l’on a confié l’audiovisuel public d’un pays laïc à une communauté religieuse sous l’emprise d’un pays étranger. A partir de là des affrontements très durs vont avoir lieu, comme celui qui concerne l’article. Un grand bravo à Frédéric Taddeï, quasiment l’ultime journaliste de la télévision qui défend les libertés d’expression et d’informer.
Monsieur Cukierman, vous qui lisez sûrement ces lignes, nous sommes des adultes responsables, de quel droit voulez vous penser à notre place. Je regrette le temps où sous la présidence de François Mitterrand, nous avions des débats acharnés à la télévision, tout le monde pouvait s’exprimer et le spectateur pouvait aisément disqualifier dans ses pensées les auteurs de paroles injuriantes. Les véritables racistes se disqualifiaient tout seuls comme des grands. Laissez nous mener notre vie dans notre pays, si nous assistons à une montée de l’antisémitisme, la faute vous en incombe en grande partie. Bien à vous.