Robert Branche

Conseil depuis 1988, je suis spécialisé dans l'accompagnement des équipes de direction dans la définition et la mise en œuvre de stratégies innovantes en univers incertain.
Fin 2013, je me suis engagé au sein de Nous Citoyens, dont j’ai été Vice-Président de septembre 2014 à janvier 2016.
Convaincu que la France ne pouvait se permettre de manquer l'échéance de 2017, j'ai publié début 2016 mon premier essai politique, "2017 : Le réveil citoyen", qui est tout à la fois un appel à une prise de conscience, une amorce de diagnostic et une proposition de chemin pour agir.
Dans mes livres précédents, je m'étais penché sur le management des entreprises comment créer de la valeur dans la durée dans un monde incertain et chaotique : "Neuromanagement" (2008), "les Mers de l'incertitude" (2010), "Les Radeaux de feu" (2013).
Je suis ancien élève de l’École Polytechnique (1974) et de l’École Nationale des Ponts et Chaussées (1979).
J’ai commencé ma carrière comme haut fonctionnaire, notamment comme Commissaire à l’industrialisation des régions de Haute et Basse Normandie, puis du groupe L’Oréal avant de m’orienter vers le conseil.

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Premier article le 29/10/2010
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Derniers commentaires

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Robert Branche 20 novembre 2013 17:39

Oui je suis au courant. Je publie régulièrement sur AgoraVox, et plus rarement sur TV. C’est effectivement une façon de prendre le pouls. C’est pourquoi je suis positivement surpris d’avoir atteint un taux d’adhésion de 44 % !

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Robert Branche 20 novembre 2013 17:11

Oui malheureusement le passage par la violence est probable. Mais c’est parce que je ne peux pas me contenter de la voir venir que j’ai décidé de parler et d’agir, ici sur ce forum et partout où cela m’est possible.

Il est d’ailleurs, sur ce thème de la violence, symptomatique de voir la brutalité des commentaires que mes vidéos ont déclenché. Mais en même temps sur 56 votants, 44% sont d’accord avec mes propos, ce qui est très rassurant.
Merci pour notre échange
Robert

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Robert Branche 20 novembre 2013 16:53

Oui et l’Allemagne est elle aussi confrontée à une explosion sociale probable... Donc elle doit aussi se réinventer.

Tout ceci suppose que de nouveaux leaders politiques se lèvent et inventent ensemble, et avec les habitants de leurs pays, une nouvelle organisation et de nouvelles règles.
Je sais que cela peut sembler utopique, mais je ne vois pas d’autre solution... et donc je pense - et espère - que cela va se produire, d’une façon ou d’une autre

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Robert Branche 20 novembre 2013 16:35

@Jerome33

C’est exactement pour cette raison que je plaide pour une "France élargie" (par exemple par rapprochement avec l’Allemagne, la Belgique, les Pays-Bas et l’Italie) pour faire un réel contre-poids en face des grandes entreprises et au sein d’une Europe largement impuissante.
Car oui, je partage ce que vous avez écrit : nous ne pouvons continuer à laisser détricoter notre droit social par l’extérieur. Et ceci concerne tout l’Europe occidentale.
Si vous avez la curiosité d’écouter tout ce que j’ai dit lors de l’émission de radio de vendredi dernier (c’est la 1ère video), vous m’entendrez attaquer la logique des grandes entreprises (et je les connais de l’intérieur...)

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Robert Branche 20 novembre 2013 16:20

@Pegase

Mais non je ne suis pas anti-français, et j’aime ce pays qui m’a vu naître et où j’ai grandi. Simplement, cela ne veut pas dire que je refuse de voir les transformations en cours, et en quoi elles sont non seulement nécessaires, mais porteuses d’un futur riche (c’est en restant braqué sur le passé que l’on propage et entretient les peurs).
Quant à votre remarque finale, elle ne me pose aucun problème : je parle à la 1ère personne et sous mon vrai nom (ce qui n’est pas votre cas). Je n’ai jamais peur d’assumer qui je suis et ce que je dis. Donc n’hésitez surtout pas à ressortir mes idées le plus souvent possible !
Amicalement
PS : Pégase est normalement symbole de sagesse et poésie. Alors imprégnez-vous donc un peu de la beauté de votre pseudo pour votre lecture du monde. Les anathèmes et les menaces sont vaines et ne changeront rien face aux mouvements en cours.

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