Virgile

Facebook qui a demandé un scan de la carte d’identité de ma copine pour confirmer son identité... tout ça parce qu’elle avait mis un pseudonyme de deux lettres seulement ! Bah non ! Compte suspendu, faut mettre un autre nom, avec copie de carte ID derrière ! Depuis... Elle n’y va plus et elle respire.
Ils en sont là... Eh ben...
Reste-t-il des messageries à peu près libres ? (oui je suis naïf)

Ça remet un peu les pendules à l’heure... C’est effrayant, surtout quand on se rappelle l’interview de cet homme (un peu allumé, certes), qui annonçait à qui voulait l’entendre que si Israël devait tomber, le monde suivrait !

Pff, comment c’était sûr...
J’attends de voir la version finale dans nos quotidiens et nos chers JT...
Ou dans le prochain épisode des Simpsons, tiens, on va vraiment voir le bâtiment s’ouvrir en deux et tirer des missiles...

Je n’arrive pas à avoir la fin de la vidéo (vers 22 minutes) :(
C’est un moment historique !
De toute façon, si on doit trouver des traces de ce discours dans nos médias, non seulement ils ne parleront que des passages dénonçant les agressions, mais il ne serait pas étonnant de voir les phrases de Chavez coupées, quand il dit qu’ils ont des missiles, oui, et qu’ils les lancent contre la pauvreté, la faim, etc.
Vite, vite, messieurs les monteurs, à vos tablettes de mixage ! Chavez a dit qu’il y avait une bombe atomique prête à sortir de la colline sur laquelle des journalistes sont assis, la colline s’ouvre en deux, baouumm pfiouuu fiiizzzz (je vous offre même les bruitages) !

Tiens, à propos de la colline en face, c’est moi ou y’a pas grand monde ? Ou alors j’ai mal vu.

Effectivement, c’est aussi à nous de réagir.
J’avais lu dans le livre du directeur de l’UFC Que Choisir qu’il fallait préférer la qualité et le local à la quantité. L’exemple qu’il donnait était tout bête (mais ça m’avait marqué - voire éveillé, presque, il y a quelques années), quand on reçoit du monde et qu’on veut leur offrir du fromage, on avait tendance à vouloir en faire beaucoup : sortir un plateau avec plein de petits fromages de marque (et souvent insipides - européanisés). L’auteur disait (et je commence à le comprendre, il serait temps !) qu’il valait mieux, finalement n’acheter qu’un fromage chez le fromager, ou au marché, mais un bon, de qualité.
Quitte à en manger moins souvent, mais apprécier quand on en mange... C’est fini la société d’abondance, mais beaucoup d’entre nous faisons comme si de rien n’était.