Nous pourrions pleurer tous ensemble avec plus ou moins d’opportunisme la disparition - le temps d’un éventuel biopic pour César - de la mémoire de l’humour à la Desproges, à l’heure où il faut avoir sa carte dans un parti ou en créer un. Mais il faudrait encore plus larmoyer sur les restes de Coluche qui a malencontreusement engendré des professionnels de l’engagement, plus proches du politicien que du marionnettiste du quotidien.
Aux jeux des tests de paternité et des portraits robots, on justifie toute notre époque uniquement par le passé proche et moins par l’histoire générale.
À croire que la peoplelisation est une visée subjectivement déculpabilisante, qui pourrait avoir sa chaire d’Histoire dans le futur.
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http://souklaye.wordpress.com/2009/02/17/on-ne-peut-plus-rire-de-tout-avec-tout-le-monde-merci-de-la-fermer/