C’est bien Michel, toi dont les parents n’ont jamais eu une bouteille de vin à la maison car ils étaient trop pauvres, tu as réussi à prouver que le christianisme était une histoire de charlatan et d’impuissant sexuel. Bravo l’athée.

Tu affiches avec classe et culture une certaine forme de mépris aux croyants du monde entier, tous ces zombies sans âmes, tous ces cons incultes et haineux qui détestent leur propre corps.

Tu en appelles à Freud, un autre taré dont la mégalomanie n’a d’égal que sa propension toute Paulinienne dirais-tu, à voir des phallus partout.

Tu crois être rebelle, un digne héritier français de Nieztche, l’illisible catatonique bourgeois anti-bourgeois, frustré et incapable de vivre sa vie, qui aurait tant voulu être ce qu’il ne fut jamais.

Si tu étais moins avide de reconnaissance, dragueur invétéré, tu aurais fait le lien entre la beauté de certains textes chrétiens et d’autres sagesses du monde de l’esprit, chose bien nécessaire en cette triste époque marchande.

Tu ferais avancer tes contemporains aliénés de manière bien plus constructives que ce que tu ne fais actuellement, les incitant à plus de cynisme, de séduction calculatrice et de fuite en avant laïcarde, parfait pour le libéralisme d’aujourd’hui.

Tu es le fruit de ton époque. Bulldozer/libérateur des femmes pour mieux pouvoir te les approprier, progressiste réactionnaire demandant les RG au cul de Dieudionné, innarétable pondeur aux kilos de bouquins répétitifs et prétentieux.

Onfray n’est pas parole d’Evangile.