La version officielle pour babouins présente bien pourtant, avec sa couverture aussi noire rappelant un fascicule germain des années quarante, manque que la croix de guerre des prussiens... très chic.

Parce que les lettrages dedans... avec l’aspartame vous comprenez... elles deviennent floues et faut des traducteurs en robes de soirée et coupe sophistiquée pour comprendre les grandes vérités de notre monde, dictées doctement et répétées inlassablement comme des mantras tibétains, des litanies soporifiques et hypnotisantes...

un décolleté abyssal et le tour est déjà joué... il n’y a plus que les hormones qui écoutent...

Les égos glorieux sont si beaux à voir... d’ailleurs comme avec Obama, on comprend rien de ce qu’ils disent, plus c’est abstrait et plus cela a l’air intelligent...

ils s’appliquent d’ailleurs en général à être certain de ne rien dire... surtout quand ils prennent des airs sérieux et lèvent l’index pour éructer ce que devraient faire ou ne pas faire les peuples à l’autre bout du monde...

ou leur voisin de palier... dans le "village globalisé" la différence entre les deux est tenue il semblerait...

très impressionant... désormais il y a le fanatique du hamburger et... le taliban... une humanité très riche en somme... pleine de surprises...

et les meilleurs tailleurs de Paris font des défilés pour savoir qui va saper les grandes prêtresses de la vérité une et indivisible qui définit toujours qui est "avec ou contre nous"...

de la haute civilisation quoi...

et puis c’est toujours agréable un peu d’air qui se déplace...

... !!! ...

merci encore Bigard pour le "757 aux ailes repliées"...

très vrais et très drôle !!