Pauvre Sentéro. Son délire est matinal et promet à ses élèves lycéens des heures tendues en cours "d’histoires inventées de toutes pièces". Ce type est soi un hurluberlu fantasque qui divague sur le net pour couper son ennui mortifère, soi un halluciné dijoncté qui passe ses nuits à fantasmer sur "le diable" en fumant la moquette ou en s’imprégnant par inspiration de la colle à rustine. En dernier lieu, comme je le pense, c’est un agent de la hasbara qui emploi une tactique d’approche se voulant raffinée et policée, mais toujours en suivant une ligne directrice à laquelle il ne déroge jamais, pas même d’un iota.