le terrorisme intellectuel. il vise à ôter la parole à ce qui pose des questions, devenu une bête à abattre sans que coule le sang : uniquement en laissant fuser les mots. Les mots qui tuent. la technique passe par plusieurs étape ; 1ere imprimer dans l’imaginaire un archétype du mal, une étiquette (révisionniste, conspirationniste, négationiste) ensuite, la technique habituelle conduit à assimiler l’adversaire à l’archétype du mal ; l’effet de cet amalgame est dissuasif : qui prendrait le risque par exemple d’être traité de fascite ou de raciste ? l’accusation peut être explicite, ou s’effectuer par insinuation ouvrant la porte au procès d’intention. TOUT OPPOSANT PEUT ETRE ATTAQUE NON SUR CE QU IL PENSE MAIS SUR LES PENSEES QU ON LUI PRETE. puis s’enclenche la diabolisation. Pas question de discuter pour convaincre : il s’agit d’intimider, de culpabiliser, de disqualifier.
LA CHASSE AUX SORCIERE.