Le 29 juin dernier (2010), je me suis présenté devant la 17 ième chambre correctionnelle (chambre consacrée aux délits commis par voie de presse = diffamations, injures publique) pour avoir été cité à comparaître par le dir’ cab’ et le chef’ cab’ de ma ville de résidence pour une prétendue diffamation émise à leur encontre. J’ai croisé dans ce tribunal le sieur Sifaoui qui avait été lui-même cité à comparaître pour des écrits orduriers et évidemment mensongers par Pascal Bonniface. Et bien figurez- vous le prévenu Sifaoui Mohamed avait cité, à titre de témoins, de nombreuses personnalités dont le président du CRIF (qui était présent), Bernard Henry Lévy (qui était absent), caroline Fourest (présente) qui était venu lui prêter main forte et l’encourager, et j’en passe.
La collusion entre Sifaoui et Fourest était si évidente et si frappante que cette dernière n’a pas hésité à lui apporter son soutien moral (hahaha parlons-en) et à dénigrer le plaignant.
Je me suis rendu compte que bon nombre de soutiens appelés en renfort étaient membres du cercle de l’oratoire ou membres du CRIF. Caroline Fourrest n’a pas dissimulé ses accointances avec la cohorte de témoins appelée au secours d’un Sifaoui dont le talent d’écriture ne vaut que par ses amitiés sionistes. Il faut savoir que Sifaoui est un agent du cercle de l’oratoire et du CRIF et que ses écrits sont plus ou moins dictés par des hommes de l’ombre appartenant aux mouvances extrèmistes décrites précédemment.