La vie d’un préfet, d’un gendarme ou d’un policier, serait donc supérieure à la vie des autres français, et occasionnerait en cas de meurtre, la déchéance de la nationalité française ?
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Les récemment naturalisés auront intérêt à bien choisir leur victime, s’ils veulent rester des assassins "français" !
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Tout ceci est grotesque !
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Alors que pour respecter l’égalité de tous devant la loi, il suffisait d’appliquer cette sentence à tous les français assassinés, et pas seulement aux forces de l’ordre et/ou aux représentants de l’Etat !