ferre est un gros nul , crée par les elites comme pompier
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pour ferre les poetes sont :
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"Ce sont de drôles de types qui vivent de leur plume
-Ou qui ne vivent pas c’est selon la saison
-Ce sont de drôles de types qui traversent la brume
-Avec des pas d’oiseaux sous l’aile des chansons"
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-donc faites gaffe à votre apparence qui peut faire de vous un poete
-pour Aragon il y a un sens et non une apparence , un poete derange
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-"Machado dort à Collioure
-Trois pas suffirent hors d’Espagne
-Que le ciel pour lui se fît lourd
-Il s’assit dans cette campagne
-Et ferma les yeux pour toujours"
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-on continu
-pour ferré un poete fait le pont et est un attardé cocu
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"Leur âme est en carafe sous les ponts de la Seine
Les sous dans les bouquins qu’ils n’ont jamais vendus
Leur femme est quelque part au bout d’une rengaine
Qui nous parle d’amour et de fruit défendu"
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-pour aragon , le poete s’interroge , s’analyse
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"Je ne sais ce qui me possède
Et me pousse à dire à voix haute
Ni pour la pitié ni pour l’aide
Ni comme on avouerait ses fautes
Ce qui m’habite et qui m’obsède"
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-le coup de grace pour ferré , qui anonne
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"Ils mettent des couleurs sur le gris des pavés
Quand ils marchent dessus ils se croient sur la mer
Ils mettent des rubans autour de l’alphabet
Et sortent dans la rue leurs mots pour prendre l’air"
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-pour aragon les poetes peignent l’ame humaine
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"La souffrance enfante les songes
Comme une ruche ses abeilles
L’homme crie où son fer le ronge
Et sa plaie engendre un soleil
Plus beau que les anciens mensonges"
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j’espere que vous verrez desormais ferre comme un peintre en batiment plutot que comme poete