Salut à tous !
Je pense que je ne vous apprend rien mais Ben Ali est un ancien agent de la CIA. Après avoir faire ses classes à l’école militaire de Saint Cyr en France, puis, il a intégré le service d’intelligences des USA. La CIA.
Ben Ali a toujours été un espion à la solde des USA. Ce sont eux et non la France qui ont placé Ben Ali en Tunisie pour avoir un des leurs dans cette partie du monde. Nous connaissons la suite, destitution de Habib Bourguiba et prise du pouvoir du Général Ben Ali en 1987.
Malgré que la Tunisie soit un ancien protectorat français, et les excellentes relations qui unissent la France et la Tunisie ;) ce sont les USA qui ont le dernier mot dans les affaires politiques intérieures comme extérieures de la Tunisie et non la France. Ben Ali est, et restera,toujours à la solde des Etats-Unis (Sionistant).
Vous vous demandez tous comment ben Ali a pu se faire débarqué comme celà ? Et bien, liez donc ce qui suit : c’est tiré d’un excellent site politique www.maghreb-intelligence.com
Je vous laisse découvrir la vérité !
Exclusif : Comment Zine El Abidine Ben Ali a été débarqué
Mardi, 18 Janvier 2011 17:07
Vendredi 14 janvier. Dans la matinée,
c’est un Zine El Abidine Ben Ali aux abois qui se replie sur son palais
de Hammamet. Il y convoque certains membres de son gouvernement et
quelques conseillers. Une équipe de la télévision tunisienne est
également présente sur les lieux.
Autour du palais, le général Ali Sériati
chef de la sécurité du président, veille au grain. Ses sbires
quadrillent le quartier où se situe la résidence présidentielle, armes à
la main. Zine El Abidine Ben Ali convoque Abdelaziz Ben Dhia,
porte-parole de la présidence et Abdelwahab Abdallah, son conseiller
politique et allié sans faille du clan Trabelsi. Il les informe que la
situation échappe à tout contrôle et qu’il sera dans l’obligation de
sacrifier quelques têtes. Les rapports qui lui parviennent des services
de sécurité font état d’une révolte généralisée dans le pays.
La foule
serait en train de marcher sur le Palais de Carthage à Tunis.
Les deux
hommes effarés acquiescent dans un premier temps avant de se rebiffer et
de demander la tête du chef du gouvernement Mohamed Ghannouchi.
Le
président hésite un moment et finit par trancher. Son téléphone n’arrête
pas de sonner. C’est Leila Trabelsi qui depuis Dubaï l’incite à
résister.
Elle lui dit qu’il peut compter sur les milices de ses frères
ainsi que sur l’appui des pays du Golfe. Ben Ali ne veut plus la prendre
au téléphone. Il démet ses deux conseillers, mais cela ne calme pas la
rue. La foule demande clairement le départ de Ben Ali. Deux heures
après, il démet le gouvernement Ghannouchi avant de le renommer.
La
veille, le président avait été lâché par deux figures de son régime : le
ministre des Affaires étrangères, Kamel Morjan et le général de corps
d’armée, chef de l’état-major Rachid Ammar.
Tous les deux forment un axe
solide qui demande au président de partir pour éviter le bain de sang.
Au milieu de l’après-midi, le général Rachid Ammar informe le président
Ben Ali que l’armée sera obligée de décréter un couvre feu général et
que dans trois heures elle procédera à la fermeture de l’espace aérien.
Kamel Morjan appuie les propos du général Ammar. Il dit au président que
si jamais d’autres victimes civiles venaient à tomber sous les balles
de la sécurité, les Américains vont définitivement lâcher le régime et
appliquer des sanctions.
C’est alors qu’Abdelaziz Ben Dhia intervient et
réussit à convaincre le président de « s’éclipser » quelques jours
pendant lesquels la Tunisie sombrerait dans le chaos. Plusieurs
attentats seraient organisés et imputés aux islamistes.
Le RCD
organiserait dans la foulée des marches monstres demandant le retour du
sauveur. Ben Ali se laisse convaincre. Il pense tout d’abord rester en
Tunisie, puis se résigne à la quitter. Dans un premier temps, c’est
Malte qui est choisie parce que toute proche de Tunis.
Et puis, c’est
pour Paris que Ben Ali opte finalement. Là-bas, il pense pouvoir
bénéficier d’une grande couverture médiatique. Alors qu’il est escorté
par des éléments de sa garde rapprochée jusqu’à son avion, le premier
ministre Mohamed Ghannouchi est « obligé » d’enregistrer un message au
peuple tunisien où il annonce que le président Ben Ali renonce
temporairement au pouvoir.
Avec le général Ali Sériati, Abdelaziz Ben
Dhia veille sur le déroulement de la cérémonie. Le plan est diabolique.
Mais, c’est sans compter sur la détermination du duo Ammar-Morjan. Dans
la soirée, les Américains font pression sur les français pour qu’ils
n’accueillent pas le président déchu, alors que Hilary Clinton appelle
le prince Nayef Ben Soltane pour accueillir Ben Ali. Au même moment, une
réunion houleuse se déroule à Tunis.
Le général Rachid Ammar fait
savoir que l’armée garantira le respect de la constitution. Les ténors
du RCD en viennent aux mains. Ben Dhia est pris d’un malaise. Abdelwahab
Abdallah est mis en résidence surveillée chez lui. Aux premières heures
du matin, l’ordre constitutionnel est rétabli sous la pression des deux
amis Kamel Morjan et Rachid Ammar. Exit donc Ben Ali.
L’empêchement se
mue en vacance du pouvoir et le président du parlement Fouad M’bazaa,
cardiaque et désintéressé, est proclamé par la Cour constitutionnelle
président de la République.
Pris de cour, le général Sériati et les
sbires de Ben Ali fuient un peu partout. Ils veulent organiser le
maquis. Ordre leur a été donné de « brûler » la Tunisie.
Un scénario qui
ne sera pas mené à termes. L’armée et les citoyens fraternisant ont
sauvé le pays du Jasmin d’une catastrophe.