Un cas de plus illustrant le fait que le "4ème pouvoir" est comme les autres, complètement déconnecté de la société dans laquelle il est censé évoluer, détaché, et tournant, avec le pouvoir politique et financier, uniquement sur eux-mêmes.
Les "sociétés civiles européennes" ne doivent pas en avoir grand choses à foutre des révoltes ou révolutions dans le Maghreb, tant mieux pour ces peuples, mais elles sont bien plus réoccupées par les crises majeures à venir qui les concernent directement, le caractère profondément antidémocratique que prend la classe politique au pouvoir, le renoncement toujours plus conséquent de la souveraineté du peuple offerte à des entités supranationales...