Bel égregor ...
Pour moi qui suis le seul français "de souche" dans mon travail, hormis le gérant de la boite, et qui ait parfois du mal à supporter les conversations en comorien de mes collègues, il y a là une bonne énergie pour péter un plomb.
Mais les propos sont sensé et prophétique sur du très court terme. La question est de savoir comment on va gérer tout ça.