"On remarque que Pascale Clark, qui se fait traiter comme de la m***, ne bronche pas... On l’a connue plus combative et mordante... avec Robert Ménard et Jean-Marie Le Pen."
Car Robert Ménard a écrit un livre dont le titre, quelque ironique qu’il puisse être, la fait voir rouge : "Vive Le Pen".
Pascale Clark a une pensée très simple, se croit dans la bien pensance avec comme diable et bouc-émissaire confortant Le Pen, avec ses provocations d’hystrion.
Rappelez-vous ses émissions matinales sur France Inter entre les deux tours de l’élection présidentielle de 2002 : c’était la propagande de la quinzaine anti-Le Pen.
Elle aurait dû méditer ce que disait le champion de la gauche bobo, plus bourgeoise que bohème, Lionel Jospin, qui disait dans Le monde du mercredi 24 avril 2002, p.7 (article intitulé « Jospin refuse de donner une consigne sur le « choix difficile du second tour » ») : « Le choix est difficile. Je ne veux pas peser dans un sens ou dans l’autre. Réfléchissez-y bien. Essayez d’être dans la réalité, pas dans les mythes. ».