Non seulement il est sioniste mais aussi athée et critique de l’islam, un Mécréant de la pire espèce ! Vite une fatwa, il a osé s’attaquer à "Dieuperdu dans l’histoire"
Extraits du traité d’athéologie Michel Onfray :
"Le XXIe siècle s’ouvre sur la lutte sans merci. D’un côté un Occident judéo-chrétien libéral, […] De l’autre, un monde musulman pieux, zélé, brutal, intolérant, violent, impérieux et conquérant."
"Car l’islam est structurellement archaïque : point par point, il contredit tout ce que la philosophie des Lumières a obtenu depuis le XVIIIe siècle en Europe et qui suppose la condamnation de la superstition, le refus de l’intolérance, l’abolition de la censure, le rejet de la tyrannie, l’opposition à l’absolutisme politique, la fin de toute religion d’Etat, la proscription de la pensée magique, l’élargissement de toute liberté de pensée et d’expression, la promulgation de l’égalité des droits, la considération que toute loi relève de l’immanence contractuelle, la volonté d’un bonheur social ici et maintenant, l’aspiration à l’universalité du règne de la raison. Autant de refus clairement signifiés à longueur de sourate... […]"
"Car tout est dans le Coran. Le lire permet de trouver toutes les réponses à toutes les questions possibles et imaginables. […] Le chef suprême dispose donc d’une source suprême, le texte saint, sa parole s’identifie à la loi et au droit. Tout ce qui définit habituellement le fascisme se retrouve dans la proposition théorique et la pratique du gouvernement islamique : […] le vitalisme de la vision du monde doublé d’une passion thanatophilique sans fond ; la guerre expansionniste vécue comme preuve de la santé de la nation ; […] le régime de terreur policière ; l’abolition de toute séparation entre sphère privée et domaine public ; la construction d’une société close ; […] la célébration des vertus guerrières - virilité, machisme, fraternité, camaraderie, discipline, misogynie ; la destruction de toute résistance ; la militarisation de la politique ; la suppression de toute liberté individuelle ; […] La théocratie brode toujours avec des variations sur ce thème... […] "