J’ai cru bon devoir tout dire (sacrée liberté d’expression)
J’ai cru bon devoir rire de tout (sacrée liberté d’impression ou de dérision)
Ai-je eu raison ? Apparemment non.
Quelques circonstances atténuantes, cependant :
1- le fait divers (qui a inauguré le Printemps arabe) de cet homme
qui s’est immolé par le feu… a été relaté tout autrement par quelques
témoins mystificateurs ou démystificateurs…
J’en ai rajouté une couche pour tordre le cou à la mauvaise foi de ceux qui sont prêts à tout pour avoir le dernier mot.
2- J’ai conçu cette petite fable pour poser le problème de
l’homosexualité en faisant, il est vrai, appel au sacré… donc au
sacrilège. (Privilège de l’imagination : maitresse d’erreur et de
fausseté)
3- Et puis, j’ai été tentée par un artifice littéraire qui a toujours
fait couler beaucoup d’encre : celui qui consiste à raconter des
histoires invraisemblables… et CROYABLES pour faire réagir, rebondir… ou
réfléchir.
Mille excuses auprès du public que je n’aurai jamais.
Personne